Game Sphere » Traumer Le webzine des jeux vidéos indépendant Thu, 18 Jun 2015 20:06:11 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.0.5 C’est dans la poche #7 : Kingdom Rush Origins /2015/05/cest-dans-la-poche-7-kingdom-rush-origins/ /2015/05/cest-dans-la-poche-7-kingdom-rush-origins/#comments Sat, 02 May 2015 16:33:16 +0000 /?p=45997 Je suis un vilain garçon. Ça me semble bien pour entrer dans la matière et réapprendre à taper le ç majuscule (alt+128 ; vous ne serez pas venu pour rien). Hormis cette fâcheuse tendance à faire des parenthèses culturelles, je suis un vilain garçon parce car cela va bientôt faire un mois que je ne me suis pas sorti les mains des poches pour écrire un C’est Dans La Poche. Comme quoi, c’était pas dans la poche et pas non plus dans les annales de l’humour, vu que ce ce n’est qu’assez moyennement drôle. Une bonne raison pour vous trouver spirituel ce soir, quand vous retrouverez vos potes et penserez à moi qui vais me contenter d’écluser des packs de panaché industriels allégés en sucre pour surveiller ma ligne et rentrer dans mes survèt’ déformés. En plus ils annoncent de la pluie et mon chat a fait une overdose de pâtée, ce qui est con vu que je n’en ai pas. Non, je plaisante : je suis beau, j’ai un chat persan à poils ras (c’est rare) et une fille au pair à qui je n’ai même pas acheté de tablier pour qu’elle reste nue en-dessous, ce qui lui permet d’acheter du foie gras pour mon chatpersanàpoilsras(c’est rare) et des pâtées au saumon pour moi. … Pourquoi est-ce que je suis venu, déjà ? J’y viens ! AUX ORIGINES DU RUSH DES KINGDOMS ! Ça valait le coup de ne pas faire une maîtrise d’anglais (toujours alt+128 pour le ç majuscule, ça s’oublie vite). Pour ceux qui me suivent toujours (de toute façon, je suis gros et ne vais donc pas bien vite), dans le dernier CDLP, je listais les jeux que proposait le Mobile Bundle du moment, parmi lesquelles se trouvaient Kingdom Rush Origins, un TD que je résumais, en substance et avec objectivité et classe, par un : OMG, encor 1 TD, c dla merd. Et, pour faire comme si je ne m’intéressais qu’à la crème de l’Arty intellectuelle sur mobile, je me proposais plutôt de prendre le temps de vous livrer un prochain article sur 80 days, seulement quelques jours (mais 80, ça semble en fait réalisable) plus tard. N’allez pas croire que j’aie eu une vie entre temps, mais simplement la flemme (une denrée bien plus répandue). De fait, entre deux rails de coke,trois gigolos et cinq filles de joie (je suis riche, célèbre et gourmand), je n’avais pas franchement la motivation pour me plonger dans un jeu prise de chou. C’est donc sur ce fameux Tower-Defense que je jetais mon dévolu. Et bien, l’eusses-tu cru (comme le fabricant de choucroute), c’est pas si nul que ça. Pour l’occasion, je fais une exception et vous parle de jeux vidéos. TD, comme Time Killer. … Toujours pas. Comme ça (alt+128 … ah non) peut souvent arriver, je me suis retrouvé dans un train, désœuvré et las d’écouter le dernier tube de Kaaris. Vous allez croire que je fais exprès de vous parler d’autre chose, mais j’en profite pour vous dire que Kaaris “a un coeur, comme tout le monde” ; devant la profondeur de la réflexion, j’en ai frôlé la crise cardiaque, ce qui aurait été un comble compte tenu de la teneur de la révélation. Dans le train donc. Je sors mon portable et parcours le menu des applis disponibles (YP, Tube8, RencontreCougar, ChoucrouteAncestrale, etc) et finis par tomber sur Kingdom Rush Origins. Pas franchement emballé, mais sérieusement ennuyé, je clique dessus (oui, j’ai une souris intégrée à mon portable, tas d’impertinents). Et bien force m’est de constater, après avoir parcouru dans les deux sens la ligne de train pour finalement me rappeler de descendre, que c’est plutôt prenant. Pour la petite histoire Au vu de l’heure qu’il était, je n’étais vraiment pas en mesure de capter quoi que ce soit à un scénario retors. C’est donc avez joie que je me suis retrouvé avec sous les yeux une ligne directrice classique, avec des elfes, un royaume à reprendre, des gentils et des méchants et de la forêt avec des bosquets pour expliquer quelle sorte de champignons est bon à manger avec votre compagnon favori. Mais – je reste un gosse – le gros avantage dans tout cela, c’est que ledit scénario bénéficiait de vignettes mettant en image la moindre phrase avant de nous plonger dans la mission. On va faire court : à défaut d’être travaillé, ça se laisse avaler. … Coquin.   Progression : la tour de la réussite ? Je me retrouve donc à la première mission et, quelques vagues de monstres proprement dézinguées et la moitié de mes vies perdues parce que je suis nul, je me rends compte qu’il m’est impossible de faire évoluer mes tourelles ! Un gros cadenas (le même qu’entre les jambes d’Angela Merkel) vous aide d’ailleurs à comprendre que ça ne sert à rien de cliquer sur la touche correspondante. En vérité, ça pourrait sembler vraiment insupportable (et ça l’est, au début), mais c’est en fait ce qui permet de rester sur le jeu, autrement que pour passer un moment à la salle d’aisance. Pour la simple et bonne raison que c’est ce qui vous donner envie d’aller plus loin, jusqu’à à la prochaine mission et de savoir comment vous allez bien pouvoir améliorer votre lanceur de soubrettes elfiques en bar gay avec orcs gogo-dancers intégrés. Et, de ce côté-là, il faut bien avouer que les développeurs ont plutôt bien réussi leur coup, puisque les améliorations que vous débloquez au fur et à mesure des missions offrent de nouvelles perspectives et complexifient considérablement vos choix pour venir à bouts de ces hordes de monstres, qui elles aussi varient considérablement et dont les propriétés sont tout aussi différentes. Il faut donc réfléchir un peu. Du coup, je ne l’ai jamais fini. Chacun son tour Parce qu’il y en assez de n’en avoir que pour ces bêtes tours qui ne bougent pas ! Kingdom Rush Origins l’a bien compris, et vous met également aux commandes d’un héros que vous pouvez déplacez sur la carte pour supporter vos tours, ainsi que les gardes qui vous aident à ralentir les vilains poilus (j’ai rien contre, libérez la bête du Gévaudan !). Ce même héros, vous pouvez l’améliorer au fil de votre aventure, grâce à des points que vous débloquez et pouvez répartir entre diverses capacités. Et ce même héros n’est en fait pas le même ! Puisque, petit à petit, vous en débloquez de nouveaux, dont les pouvoirs et caractéristiques vous font revoir du tout au tout la manière dont vous allez placer vos tours ! DINGUE ! il me faut plus de points d’exclamations, bordel de m**** !!! Plus calmement, la manière dont vous gérez votre héros sera ce qui va déterminer si, oui ou non, vous aurez droit au bisou de Elfina une fois rentré au bercail ou bien à la fessée. Dépendamment de ce que vous choisirez (soigneur, guerrier, archer, magiciens, manipulateurs, etc), le cours de la bataille va profondément changer. C’est également ce qui offre une grande rejouabilité au titre, puisque, même si un héros se trouvera être plus apte à mener à bien une mission, il ne sera pas forcément au niveau pour cela. Pour ce faire, il vous faudra refaire d’anciennes quêtes, qui feront évoluer votre héros et le rendront compétitif. Et franchement, le meilleur, c’est que ça n’est même pas spécialement soûlant. Un dernier tour… … Et on arrête. Pour vous résumer le tout, Kindom Rush Origins s’avère être plus que ce qu’il propose : à savoir, pas juste un bête TD. Je ne vous ai pas parlé de son visuel, celui-ci est plutôt convaincant et coloré, mais ça nous est égal. Non, ce qui prime vraiment pour le titre, ce sont les mécaniques de jeu mises en place qui parviennent à apporter de la nouveauté à un genre ancestral. Pas le premier à le faire pour autant, certes, mais le pari est réussi. Contrôler le placement du héros vous permet d’avoir une réelle implication dans la bataille, et pas simplement d’attendre d’avoir assez d’argent pour construire une nouvelle tour, et ses améliorations donnent aux titres un côté RPG vraiment sympathique. Pour ne rien gâcher, le fait de débloquer petit à petit les tours, mais aussi de pouvoir les améliorer en fonction du score que vous faites à chacune des missions (portée, résistance, puissance, propriétés diverses et variées) vous donnera envie de continuer. Ah, il y a le scénario, aussi… Ben que vous dire, si ce n’est que c’est un scénario de TD, et que lui n’échappe pas à la règle. Et donc qu’on s’en balance. En bref, le tout vaut le coup que vous vous y mettiez, ne serait-ce que pour occuper un dimanche chez tata ou Papy. Vous avez été abandonné(e) à la naissance ? Rejoignez-moi ici. Tenez, ça peut servir : Page Google play de Kingdom Rush Origins (3.35€) Page Apple Store du même jeu (2.99€) Sur ce, je retourne à mes occupations saines et variées, j’entends de derrière ma porte des supplications pour que je vienne répandre la joie, la foi et tout le reste sur mes fidèles. Oui, c’est dur, je ne vous le fais pas dire. Non, je ne disais pas ça pour ça. Vous êtes vraiment lourds, bon Dieu.

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KDO banniere

Je suis un vilain garçon. Ça me semble bien pour entrer dans la matière et réapprendre à taper le ç majuscule (alt+128 ; vous ne serez pas venu pour rien).

Hormis cette fâcheuse tendance à faire des parenthèses culturelles, je suis un vilain garçon parce car cela va bientôt faire un mois que je ne me suis pas sorti les mains des poches pour écrire un C’est Dans La Poche. Comme quoi, c’était pas dans la poche et pas non plus dans les annales de l’humour, vu que ce ce n’est qu’assez moyennement drôle. Une bonne raison pour vous trouver spirituel ce soir, quand vous retrouverez vos potes et penserez à moi qui vais me contenter d’écluser des packs de panaché industriels allégés en sucre pour surveiller ma ligne et rentrer dans mes survèt’ déformés. En plus ils annoncent de la pluie et mon chat a fait une overdose de pâtée, ce qui est con vu que je n’en ai pas.

Non, je plaisante : je suis beau, j’ai un chat persan à poils ras (c’est rare) et une fille au pair à qui je n’ai même pas acheté de tablier pour qu’elle reste nue en-dessous, ce qui lui permet d’acheter du foie gras pour mon chatpersanàpoilsras(c’est rare) et des pâtées au saumon pour moi. … Pourquoi est-ce que je suis venu, déjà ? J’y viens !

AUX ORIGINES DU RUSH DES KINGDOMS !

Ça valait le coup de ne pas faire une maîtrise d’anglais (toujours alt+128 pour le ç majuscule, ça s’oublie vite).

Pour ceux qui me suivent toujours (de toute façon, je suis gros et ne vais donc pas bien vite), dans le dernier CDLP, je listais les jeux que proposait le Mobile Bundle du moment, parmi lesquelles se trouvaient Kingdom Rush Origins, un TD que je résumais, en substance et avec objectivité et classe, par un :

OMG, encor 1 TD, c dla merd.

Et, pour faire comme si je ne m’intéressais qu’à la crème de l’Arty intellectuelle sur mobile, je me proposais plutôt de prendre le temps de vous livrer un prochain article sur 80 days, seulement quelques jours (mais 80, ça semble en fait réalisable) plus tard. N’allez pas croire que j’aie eu une vie entre temps, mais simplement la flemme (une denrée bien plus répandue). De fait, entre deux rails de coke,trois gigolos et cinq filles de joie (je suis riche, célèbre et gourmand), je n’avais pas franchement la motivation pour me plonger dans un jeu prise de chou. C’est donc sur ce fameux Tower-Defense que je jetais mon dévolu.

Et bien, l’eusses-tu cru (comme le fabricant de choucroute), c’est pas si nul que ça. Pour l’occasion, je fais une exception et vous parle de jeux vidéos.

KDO arbre

TD, comme Time Killer. … Toujours pas.

Comme ça (alt+128 … ah non) peut souvent arriver, je me suis retrouvé dans un train, désœuvré et las d’écouter le dernier tube de Kaaris. Vous allez croire que je fais exprès de vous parler d’autre chose, mais j’en profite pour vous dire que Kaaris “a un coeur, comme tout le monde” ; devant la profondeur de la réflexion, j’en ai frôlé la crise cardiaque, ce qui aurait été un comble compte tenu de la teneur de la révélation.

Dans le train donc. Je sors mon portable et parcours le menu des applis disponibles (YP, Tube8, RencontreCougar, ChoucrouteAncestrale, etc) et finis par tomber sur Kingdom Rush Origins. Pas franchement emballé, mais sérieusement ennuyé, je clique dessus (oui, j’ai une souris intégrée à mon portable, tas d’impertinents). Et bien force m’est de constater, après avoir parcouru dans les deux sens la ligne de train pour finalement me rappeler de descendre, que c’est plutôt prenant.

KDO dragon

Pour la petite histoire

Au vu de l’heure qu’il était, je n’étais vraiment pas en mesure de capter quoi que ce soit à un scénario retors. C’est donc avez joie que je me suis retrouvé avec sous les yeux une ligne directrice classique, avec des elfes, un royaume à reprendre, des gentils et des méchants et de la forêt avec des bosquets pour expliquer quelle sorte de champignons est bon à manger avec votre compagnon favori.

Mais – je reste un gosse – le gros avantage dans tout cela, c’est que ledit scénario bénéficiait de vignettes mettant en image la moindre phrase avant de nous plonger dans la mission. On va faire court : à défaut d’être travaillé, ça se laisse avaler. … Coquin.

 

Progression : la tour de la réussite ?

Je me retrouve donc à la première mission et, quelques vagues de monstres proprement dézinguées et la moitié de mes vies perdues parce que je suis nul, je me rends compte qu’il m’est impossible de faire évoluer mes tourelles ! Un gros cadenas (le même qu’entre les jambes d’Angela Merkel) vous aide d’ailleurs à comprendre que ça ne sert à rien de cliquer sur la touche correspondante.

En vérité, ça pourrait sembler vraiment insupportable (et ça l’est, au début), mais c’est en fait ce qui permet de rester sur le jeu, autrement que pour passer un moment à la salle d’aisance. Pour la simple et bonne raison que c’est ce qui vous donner envie d’aller plus loin, jusqu’à à la prochaine mission et de savoir comment vous allez bien pouvoir améliorer votre lanceur de soubrettes elfiques en bar gay avec orcs gogo-dancers intégrés.

Et, de ce côté-là, il faut bien avouer que les développeurs ont plutôt bien réussi leur coup, puisque les améliorations que vous débloquez au fur et à mesure des missions offrent de nouvelles perspectives et complexifient considérablement vos choix pour venir à bouts de ces hordes de monstres, qui elles aussi varient considérablement et dont les propriétés sont tout aussi différentes. Il faut donc réfléchir un peu. Du coup, je ne l’ai jamais fini.

KDO ciel

Chacun son tour

Parce qu’il y en assez de n’en avoir que pour ces bêtes tours qui ne bougent pas ! Kingdom Rush Origins l’a bien compris, et vous met également aux commandes d’un héros que vous pouvez déplacez sur la carte pour supporter vos tours, ainsi que les gardes qui vous aident à ralentir les vilains poilus (j’ai rien contre, libérez la bête du Gévaudan !). Ce même héros, vous pouvez l’améliorer au fil de votre aventure, grâce à des points que vous débloquez et pouvez répartir entre diverses capacités.

Et ce même héros n’est en fait pas le même ! Puisque, petit à petit, vous en débloquez de nouveaux, dont les pouvoirs et caractéristiques vous font revoir du tout au tout la manière dont vous allez placer vos tours ! DINGUE ! il me faut plus de points d’exclamations, bordel de m**** !!!

Plus calmement, la manière dont vous gérez votre héros sera ce qui va déterminer si, oui ou non, vous aurez droit au bisou de Elfina une fois rentré au bercail ou bien à la fessée. Dépendamment de ce que vous choisirez (soigneur, guerrier, archer, magiciens, manipulateurs, etc), le cours de la bataille va profondément changer. C’est également ce qui offre une grande rejouabilité au titre, puisque, même si un héros se trouvera être plus apte à mener à bien une mission, il ne sera pas forcément au niveau pour cela. Pour ce faire, il vous faudra refaire d’anciennes quêtes, qui feront évoluer votre héros et le rendront compétitif. Et franchement, le meilleur, c’est que ça n’est même pas spécialement soûlant.

KDO panpan

Un dernier tour…

… Et on arrête. Pour vous résumer le tout, Kindom Rush Origins s’avère être plus que ce qu’il propose : à savoir, pas juste un bête TD. Je ne vous ai pas parlé de son visuel, celui-ci est plutôt convaincant et coloré, mais ça nous est égal.

Non, ce qui prime vraiment pour le titre, ce sont les mécaniques de jeu mises en place qui parviennent à apporter de la nouveauté à un genre ancestral. Pas le premier à le faire pour autant, certes, mais le pari est réussi. Contrôler le placement du héros vous permet d’avoir une réelle implication dans la bataille, et pas simplement d’attendre d’avoir assez d’argent pour construire une nouvelle tour, et ses améliorations donnent aux titres un côté RPG vraiment sympathique.

Pour ne rien gâcher, le fait de débloquer petit à petit les tours, mais aussi de pouvoir les améliorer en fonction du score que vous faites à chacune des missions (portée, résistance, puissance, propriétés diverses et variées) vous donnera envie de continuer. Ah, il y a le scénario, aussi… Ben que vous dire, si ce n’est que c’est un scénario de TD, et que lui n’échappe pas à la règle. Et donc qu’on s’en balance.

En bref, le tout vaut le coup que vous vous y mettiez, ne serait-ce que pour occuper un dimanche chez tata ou Papy. Vous avez été abandonné(e) à la naissance ? Rejoignez-moi ici.

Tenez, ça peut servir :

Sur ce, je retourne à mes occupations saines et variées, j’entends de derrière ma porte des supplications pour que je vienne répandre la joie, la foi et tout le reste sur mes fidèles. Oui, c’est dur, je ne vous le fais pas dire. Non, je ne disais pas ça pour ça. Vous êtes vraiment lourds, bon Dieu.

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Fearless Fantasy sur iOs … Et sur android ? /2015/04/fearless-fantasy-sur-ios-et-sur-android/ /2015/04/fearless-fantasy-sur-ios-et-sur-android/#comments Tue, 21 Apr 2015 09:10:24 +0000 /?p=45929 Si vous faites partie – comme tout le monde – de nos plus grands fans, vous avez forcément déjà lu la courte présentation que nous avons faite du titre Fearless Fantasy. Si vous êtes notre plus grand fan mais en plus petit, vous pouvez rattraper votre retard ici. Faites vite, la compétition est rude. Depuis sa sortie sur steam en mai 2014, nous attendions des nouvelles de ce titre qui, de toute évidence, se prêtait fortement à un gameplay sur plateformes mobiles. Une annonce avait été faite l’été de l’année dernière, où les développeurs nous communiquaient leur joie à l’idée de vous rendre encore plus stupides via votre téléphone : Un millier de neurones en moins pour chaque seconde de jeu ! C TRO SWAG! BootyShake95, qui s’est avéré ne pas être le vrai PDG du studio Tiny Build. De fait, on avait hâte de se cramer un peu de matière grise pour cet hiver qui promettait d’être froid. Heureusement que la neige n’a pas été de la partie, puisque Fearless Fantasy n’est finalement pas sorti à la date convenu (fin 2014). La déconvenue était grande, on en conviendra. Mais soyez rassurés, puisque le studio Tiny Build a posté il y a peu une vidéo de gameplay pour sa version mobile de Fearless Fantasy, qui nous montre que tout ceci avance bien. Et, après enquête, il y a mieux encore : Fearless Fantasy sortira en mai !  “J’suis refait” , comme disent les gentlemen. En revanche, ce qui freine un peu nos ardeurs est que, d’après le titre de la vidéo, il ne s’agit pour l’instant que de l’annonce de Fearless Fantasy sur iOs. Et on aimerait tout autant le voir sortir également sur android, ce qui ne gâcherait rien. Espérons donc qu’il ne s’agit que d’un oubli du studio, qui a pensé judicieux de ne pas mettre de titre trop long pour sa vidéo. C’est pourtant bien les longs titres. ‘Comprends pas… Nous en saurons en tout cas plus d’ici un mois. Restez à l’écoute ! Un C’est dans la Poche sur cette aberration vidéo-ludique dès sa sortie, promis. Une envie de vous exploser la rétine ? C’est gratuit : Javel visuelle/site officiel tinyBuild Trailer iOs de Fearless Fantasy  

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FearlessFantasy banniere

Si vous faites partie – comme tout le monde – de nos plus grands fans, vous avez forcément déjà lu la courte présentation que nous avons faite du titre Fearless Fantasy. Si vous êtes notre plus grand fan mais en plus petit, vous pouvez rattraper votre retard ici. Faites vite, la compétition est rude.

Depuis sa sortie sur steam en mai 2014, nous attendions des nouvelles de ce titre qui, de toute évidence, se prêtait fortement à un gameplay sur plateformes mobiles. Une annonce avait été faite l’été de l’année dernière, où les développeurs nous communiquaient leur joie à l’idée de vous rendre encore plus stupides via votre téléphone :

Un millier de neurones en moins pour chaque seconde de jeu ! C TRO SWAG!

BootyShake95, qui s’est avéré ne pas être le vrai PDG du studio Tiny Build.

De fait, on avait hâte de se cramer un peu de matière grise pour cet hiver qui promettait d’être froid. Heureusement que la neige n’a pas été de la partie, puisque Fearless Fantasy n’est finalement pas sorti à la date convenu (fin 2014). La déconvenue était grande, on en conviendra.

Mais soyez rassurés, puisque le studio Tiny Build a posté il y a peu une vidéo de gameplay pour sa version mobile de Fearless Fantasy, qui nous montre que tout ceci avance bien. Et, après enquête, il y a mieux encore : Fearless Fantasy sortira en mai !  “J’suis refait” , comme disent les gentlemen.

En revanche, ce qui freine un peu nos ardeurs est que, d’après le titre de la vidéo, il ne s’agit pour l’instant que de l’annonce de Fearless Fantasy sur iOs. Et on aimerait tout autant le voir sortir également sur android, ce qui ne gâcherait rien. Espérons donc qu’il ne s’agit que d’un oubli du studio, qui a pensé judicieux de ne pas mettre de titre trop long pour sa vidéo. C’est pourtant bien les longs titres. ‘Comprends pas…

Nous en saurons en tout cas plus d’ici un mois. Restez à l’écoute ! Un C’est dans la Poche sur cette aberration vidéo-ludique dès sa sortie, promis.

Une envie de vous exploser la rétine ? C’est gratuit : Javel visuelle/site officiel tinyBuild

Trailer iOs de Fearless Fantasy

 

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Deadwood : the forgotten curse. Le come back ! /2015/04/deadwood-the-forgotten-curse-le-come-back/ /2015/04/deadwood-the-forgotten-curse-le-come-back/#comments Sat, 18 Apr 2015 09:16:55 +0000 /?p=45893 À croire que le titre du studio SteamRoller ne devait ni mourir, ni être oublié. Tel un zombie avide de sousous et pressé de sortir la tête de terre pour nous régaler de ses vers à chairs généreusement élevés (“donner de sa personne” au sens propre, quoi) , Deadwood : the forgotten curse retente sa chance sur Kickstarter ! Nous vous parlions de Deadwood : the forgotten curse pour sa première campagne, qui n’aura pas remporté le succès escompté et encore moins atteint son palier de 65 000 $. Mais – alleluia - le studio ne baisse pas les bras et relance une nouvelle campagne de financement, avec la même somme attendu mais l’ajout de paliers de financement, ainsi que d’une démo jouable. Et il faut croire que la com’ ainsi que ces quelques ajouts ont suffit à les propulser vers de nouveaux sommets, puisque, après quelques jours de financement, Deadwood : the forgotten curse a déjà presque passé la barre des 65 000$ ! Tu l’entends ma grosse machine à sous qui fait *cling cling*, dis ?! Confessions du PDG du studio. C’est pas vrai. Vu comme tout ce fameux bazar est parti, on peut sans complexe vous dévoiler les nouveaux paliers de financement qui sont : 65K $ : vous êtes au courant, le jeu sera fait. 70K $ : Endless mode ! Pas original pour autant, mais ça fait toujours plaisir. 80K $ : sortie sur la PS4 ! Je m’en fous, je l’ai p… *PAN* C’est vraiment une super nouvelle. 85K$ : creative mode : voilà qui va vous permettre de vous amuser comme jamais en laissant votre créativité s’exprimer, au sein d’un mode Sandbox. 95K$ : sortie sur la xBox One ! Je m’en f… *PAN* D’autres à venir mais, pour l’instant, c’est aux abonnés absents. Le jeu a l’air d’en avoir sous le capot (navré, Fast and Furious 7 sort bientôt, ça me rend toute chose et un peu beauf aussi), on est donc bien contents que son financement ait été reconduit et qu’il semble parti pour percer les nues (c’est une expression, ne rangez pas votre magazine éducatif). Deadwood : the forgotten curse a jusqu’au 14/05/2015 pour se financer. Même pas besoin d’espérer pour eux, l’affaire a déjà l’air rondement menée. Quoique, on aimerait bien en savoir plus sur ces stretch goals mystère. On vous tient au courant. Deadwood : the forgotten curse a pour l’instant réuni 61 836$ sur les 65 000 demandés. Page Kickstarter de Deadwood : the forgotten curse

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Deadwood1

À croire que le titre du studio SteamRoller ne devait ni mourir, ni être oublié. Tel un zombie avide de sousous et pressé de sortir la tête de terre pour nous régaler de ses vers à chairs généreusement élevés (“donner de sa personne” au sens propre, quoi) , Deadwood : the forgotten curse retente sa chance sur Kickstarter !

Nous vous parlions de Deadwood : the forgotten curse pour sa première campagne, qui n’aura pas remporté le succès escompté et encore moins atteint son palier de 65 000 $. Mais – alleluia - le studio ne baisse pas les bras et relance une nouvelle campagne de financement, avec la même somme attendu mais l’ajout de paliers de financement, ainsi que d’une démo jouable.

Et il faut croire que la com’ ainsi que ces quelques ajouts ont suffit à les propulser vers de nouveaux sommets, puisque, après quelques jours de financement, Deadwood : the forgotten curse a déjà presque passé la barre des 65 000$ !

Tu l’entends ma grosse machine à sous qui fait *cling cling*, dis ?!

Confessions du PDG du studio. C’est pas vrai.

Vu comme tout ce fameux bazar est parti, on peut sans complexe vous dévoiler les nouveaux paliers de financement qui sont :

  • 65K $ : vous êtes au courant, le jeu sera fait.
  • 70K $ : Endless mode ! Pas original pour autant, mais ça fait toujours plaisir.
  • 80K $ : sortie sur la PS4 ! Je m’en fous, je l’ai p… *PAN* C’est vraiment une super nouvelle.
  • 85K$ : creative mode : voilà qui va vous permettre de vous amuser comme jamais en laissant votre créativité s’exprimer, au sein d’un mode Sandbox.
  • 95K$ : sortie sur la xBox One ! Je m’en f… *PAN*
  • D’autres à venir mais, pour l’instant, c’est aux abonnés absents.

Le jeu a l’air d’en avoir sous le capot (navré, Fast and Furious 7 sort bientôt, ça me rend toute chose et un peu beauf aussi), on est donc bien contents que son financement ait été reconduit et qu’il semble parti pour percer les nues (c’est une expression, ne rangez pas votre magazine éducatif).

Deadwood : the forgotten curse a jusqu’au 14/05/2015 pour se financer. Même pas besoin d’espérer pour eux, l’affaire a déjà l’air rondement menée. Quoique, on aimerait bien en savoir plus sur ces stretch goals mystère. On vous tient au courant.

Deadwood : the forgotten curse a pour l’instant réuni 61 836$ sur les 65 000 demandés.

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C’est dans la poche #6 : humblement vôtre /2015/04/cest-dans-la-poche-6-humblement-votre/ /2015/04/cest-dans-la-poche-6-humblement-votre/#comments Wed, 08 Apr 2015 11:21:34 +0000 /?p=45806 Non, ne parcourez pas internet à la recherche d’un éventuel jeu portant ce nom, vous ne tomberiez que sur un livre où ont été recopiées les correspondances d’un illustre pape (qui, pour être original, a rajouté “Ier” après son prénom : Jean-Paul. Paix à son âme, sur terre comme aux cieux d’ailleurs). Voilà au moins une chose à laquelle, pour vous et votre chat, je reste fidèle : une intro sans rapport, fastidieuse mais délectable. En revanche, je dois bien vous l’avouer : nous n’allons pas prendre un jeu précis et nous le mettre sous la dent aujourd’hui. Non, aujourd’hui nous allons nous EMPIFFRER de jeux, qui nous sont proposés pour un prix dérisoire (ou non), puisque le Mobile Bundle est là ! Joie, félicité et choucroute garnie, comme dit dans l’évangile bavarois. Cela dit, je ne suis pas payé, et encore moins à ne rien faire, donc au boulot !     C’est l’heure du B-B-BOU-BOU-BOUNDEN ! Ou, en soi, de l’appli (plus qu’un jeu) qui ne vous servira à rien du tout ou bien fera office de révélation : Bounden vise à vous apprendre les bases de la danse, à deux ou seul, en tenant votre Smartphone par la main (oui, c’est triste et drôle) et en suivant les indications qui s’affichent à l’écran, quant aux pas que vous devez effectuer pour toutes les faire tomber. … Tout ce que je peux vous en dire, c’est que le métro n’est pas le meilleur endroit pour s’y essayer. Quoique, vous pouvez toujours en faire une arme de séduction et un argument d’approche béton. Pour ce qui est de la manière, ce sera pour une prochaine chronique (je décide d’ailleurs actuellement du nom : “C’est dans tes bras” ; “C’est dans tes yeux” ; “C’est dans ton c…” Je décide, quoi).       C’est à qui ? C’est Auro! Auro quoi ? Aurognon ! Auro semble, parmi tout ce qui nous est proposé, un de ceux qui est le plus digne d’attention. De fait, j’en viendrais presque à ne pas vous en parler du tout, histoire de me le garder au chaud pour plus tard et me sentir, pendant quelques jours, exceptionnel. Mais ça serait égoïste, et je le suis déjà (exceptionnel). Auro est un jeu qui ne paye pas de mine par son visuel, bien que restant sympathique, mais possédant des mécaniques de jeu franchement intéressantes. Vous y incarnez un magicien et devez vous débarrasser de monstres qui surgissent tour à tour sur un plateau de jeu, découpé en petits hexagones. Pour ce faire sont mis à votre disposition quantité de sorts qui feront “bumper” les monstres, les repoussant de case en case, jusqu’à les faire sortir du plateau ou bien les amenant jusqu’à des cases piégés. Il vous faut donc penser vos actions, pour parvenir à enchaîner au mieux les “bumps” . Pour vous faire une rapide idée, c’est un peu comme de jouer au solitaire, mais en moins chiant. Vous ne voyez pas ce qu’est le solitaire ? Si si, c’est ce jeu de votre enfance, chez mamie, avec ses billes et son plateau de bois dont vous n’êtes jamais venu à bout. Je lis en vous comme dans un livre ouvert. Coquin.     Avernum: Escape From the Pit “Tiens, pas de titre pourri ? ” Non. Je ne sais pas pour vous, mais ce jeu ne me fait pas envie. Pas franchement beau, pour ne pas dire moche, et avec une intrigue bateau (vous êtes banni(e) de l’underworld, un méchant empereur fait la loi, dépêchez-vous de vous en sortir après avoir manqué mourir ; ça tombe bien, il y a une rébellion). Donc non. Oui, ceci est subjectif. Mais c’est ma chronique (nananère). Mais rien ne vous empêche de vous y essayer, c’est peut-être très bien.         80 DAYS et toujours toutes ses dents Qui l’eût cru ? 80 DAYS est un jeu vous mettant dans la peau de Phileas Fogg, un londonien qui a gagé pouvoir faire le tour du monde en 80 jours et dont – évidemment – tout le monde se moque. Si ce nom vous parle, c’est que vous ne lisez pas que Oops et Voici aux chiottes et avez un transit suffisant pour lire Jules Vernes sur votre trône. Au vu de ses images et de son concept, ce titre a l’air tout à fait prenant. Tellement que, le temps de prendre ma soirée pour le parcourir en long et en large, ce qui sera de toute façon moins long que de faire le tour du globe, et je vous en reparle tout spécialement dans le prochain C’est dans la poche. Et Il arrivera vite, ne vous en faites pas.     Kingdom Rush Origins Prelude des deux premiers opus, ce titre reprend les bases de ses prédécesseurs, avec plus de couleurs et d’action et de tours et de monstres. Pour faire court, c’est un Tower-Defense. Et il est bien. Mais c’est un Tower-Defense. Et comme tout Tower-Defense, il va vous occuper un temps, vous rendre addict, vous lasser et enfin libérer de la place sur votre smartphone. Mais retenez que ce TD a pour lui un avantage non négligeable sur bon nombre de ses congénères : il est bien.         Rikidick: the mercurochrome flies. C’est pas vrai, même si ça pourrait être super vendeur, le jeu ne s’appelle pas comme ça. Riddick : The merc Files est un jeu aux graphismes plutôt léchés, avec une esthétique assez sombre et vous mettant dans la peau de Riddick, chasseur de poulpes volants. Vous êtes pourchassés par d’impitoyables mercs mais vous êtes brutal, stylé et charismatique donc vous ne craignez rien. Le titre mêle infiltration, combat et mêlée ; il est stylé, plutôt beau, pèse lourd et a tout l’air d’être un parfait Time-Killer. Avec de la testostérone en prime. Nom nom nom. Et il y a même une commande pour, face à vos ennemis, balancer un “Comment ça va, Merc?” Si, c’est vrai.   Pour finir Vous voilà un peu plus au fait de ce que vous pouvez vous offrir pour la somme de 4.32$ ou plus (soyez sympas, mettez plus). Et, sur le tout et sans même compter les jeux qui vont peu à peu y être ajoutés, il y a vraiment de quoi faire, et même de quoi bien faire. Après les avoir tous essayés, je vous recommande franchement de donner un essai à (presque) chacun des jeux qui y sont proposés, vous ne devriez à priori pas être déçu. Et pour de plus amples informations (ENCORE PLUS), vous n’avez plus qu’à attendre deux jours, votre serviteur reviendra vers vous, les bras chargés de pavés qui piquent les yeux. Mais c’est bon les pavés. Page du mobile Bundle PS : vous avez jusqu’au 21/04 pour faire dans l’humanitaire tout en vous amusant !

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CDLP banniere

Non, ne parcourez pas internet à la recherche d’un éventuel jeu portant ce nom, vous ne tomberiez que sur un livre où ont été recopiées les correspondances d’un illustre pape (qui, pour être original, a rajouté “Ier” après son prénom : Jean-Paul. Paix à son âme, sur terre comme aux cieux d’ailleurs).

Voilà au moins une chose à laquelle, pour vous et votre chat, je reste fidèle : une intro sans rapport, fastidieuse mais délectable. En revanche, je dois bien vous l’avouer : nous n’allons pas prendre un jeu précis et nous le mettre sous la dent aujourd’hui. Non, aujourd’hui nous allons nous EMPIFFRER de jeux, qui nous sont proposés pour un prix dérisoire (ou non), puisque le Mobile Bundle est là ! Joie, félicité et choucroute garnie, comme dit dans l’évangile bavarois.

Cela dit, je ne suis pas payé, et encore moins à ne rien faire, donc au boulot !

 

 

C’est l’heure du B-B-BOU-BOU-BOUNDEN !Bounden

Ou, en soi, de l’appli (plus qu’un jeu) qui ne vous servira à rien du tout ou bien fera office de révélation : Bounden vise à vous apprendre les bases de la danse, à deux ou seul, en tenant votre Smartphone par la main (oui, c’est triste et drôle) et en suivant les indications qui s’affichent à l’écran, quant aux pas que vous devez effectuer pour toutes les faire tomber.

Tout ce que je peux vous en dire, c’est que le métro n’est pas le meilleur endroit pour s’y essayer. Quoique, vous pouvez toujours en faire une arme de séduction et un argument d’approche béton. Pour ce qui est de la manière, ce sera pour une prochaine chronique (je décide d’ailleurs actuellement du nom : “C’est dans tes bras” ; “C’est dans tes yeux” ; “C’est dans ton c…” Je décide, quoi).

 

 

 

AuroC’est à qui ? C’est Auro! Auro quoi ? Aurognon !

Auro semble, parmi tout ce qui nous est proposé, un de ceux qui est le plus digne d’attention. De fait, j’en viendrais presque à ne pas vous en parler du tout, histoire de me le garder au chaud pour plus tard et me sentir, pendant quelques jours, exceptionnel. Mais ça serait égoïste, et je le suis déjà (exceptionnel).

Auro est un jeu qui ne paye pas de mine par son visuel, bien que restant sympathique, mais possédant des mécaniques de jeu franchement intéressantes. Vous y incarnez un magicien et devez vous débarrasser de monstres qui surgissent tour à tour sur un plateau de jeu, découpé en petits hexagones. Pour ce faire sont mis à votre disposition quantité de sorts qui feront “bumper” les monstres, les repoussant de case en case, jusqu’à les faire sortir du plateau ou bien les amenant jusqu’à des cases piégés. Il vous faut donc penser vos actions, pour parvenir à enchaîner au mieux les “bumps” .

Pour vous faire une rapide idée, c’est un peu comme de jouer au solitaire, mais en moins chiant. Vous ne voyez pas ce qu’est le solitaire ? Si si, c’est ce jeu de votre enfance, chez mamie, avec ses billes et son plateau de bois dont vous n’êtes jamais venu à bout. Je lis en vous comme dans un livre ouvert. Coquin.

 

 

Avernum: Escape From the PitAvernum

“Tiens, pas de titre pourri ? ” Non. Je ne sais pas pour vous, mais ce jeu ne me fait pas envie. Pas franchement beau, pour ne pas dire moche, et avec une intrigue bateau (vous êtes banni(e) de l’underworld, un méchant empereur fait la loi, dépêchez-vous de vous en sortir après avoir manqué mourir ; ça tombe bien, il y a une rébellion).

Donc non. Oui, ceci est subjectif. Mais c’est ma chronique (nananère). Mais rien ne vous empêche de vous y essayer, c’est peut-être très bien.

 

 

 

 

80 days80 DAYS et toujours toutes ses dents

Qui l’eût cru ? 80 DAYS est un jeu vous mettant dans la peau de Phileas Fogg, un londonien qui a gagé pouvoir faire le tour du monde en 80 jours et dont – évidemment – tout le monde se moque. Si ce nom vous parle, c’est que vous ne lisez pas que Oops et Voici aux chiottes et avez un transit suffisant pour lire Jules Vernes sur votre trône.

Au vu de ses images et de son concept, ce titre a l’air tout à fait prenant. Tellement que, le temps de prendre ma soirée pour le parcourir en long et en large, ce qui sera de toute façon moins long que de faire le tour du globe, et je vous en reparle tout spécialement dans le prochain C’est dans la poche. Et Il arrivera vite, ne vous en faites pas.

 

 

Kingdom Rush OriginsKindom rush origin

Prelude des deux premiers opus, ce titre reprend les bases de ses prédécesseurs, avec plus de couleurs et d’action et de tours et de monstres. Pour faire court, c’est un Tower-Defense. Et il est bien. Mais c’est un Tower-Defense. Et comme tout Tower-Defense, il va vous occuper un temps, vous rendre addict, vous lasser et enfin libérer de la place sur votre smartphone.

Mais retenez que ce TD a pour lui un avantage non négligeable sur bon nombre de ses congénères : il est bien.

 

 

 

 

Riddick the merc filesRikidick: the mercurochrome flies.

C’est pas vrai, même si ça pourrait être super vendeur, le jeu ne s’appelle pas comme ça.

Riddick : The merc Files est un jeu aux graphismes plutôt léchés, avec une esthétique assez sombre et vous mettant dans la peau de Riddick, chasseur de poulpes volants. Vous êtes pourchassés par d’impitoyables mercs mais vous êtes brutal, stylé et charismatique donc vous ne craignez rien.

Le titre mêle infiltration, combat et mêlée ; il est stylé, plutôt beau, pèse lourd et a tout l’air d’être un parfait Time-Killer. Avec de la testostérone en prime. Nom nom nom.

Et il y a même une commande pour, face à vos ennemis, balancer un “Comment ça va, Merc?” Si, c’est vrai.

 

Pour finir

Vous voilà un peu plus au fait de ce que vous pouvez vous offrir pour la somme de 4.32$ ou plus (soyez sympas, mettez plus). Et, sur le tout et sans même compter les jeux qui vont peu à peu y être ajoutés, il y a vraiment de quoi faire, et même de quoi bien faire.

Après les avoir tous essayés, je vous recommande franchement de donner un essai à (presque) chacun des jeux qui y sont proposés, vous ne devriez à priori pas être déçu. Et pour de plus amples informations (ENCORE PLUS), vous n’avez plus qu’à attendre deux jours, votre serviteur reviendra vers vous, les bras chargés de pavés qui piquent les yeux. Mais c’est bon les pavés.

PS : vous avez jusqu’au 21/04 pour faire dans l’humanitaire tout en vous amusant !

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Legend of Dungeon : Legend heroes expansion /2015/03/legend-of-dungeon-legend-heroes-expansion/ /2015/03/legend-of-dungeon-legend-heroes-expansion/#comments Wed, 25 Mar 2015 09:44:09 +0000 /?p=45713 Soyez heureux, soyez contents et tant pis pour la pluie qui freine nos hardeurs ! Car, pour peu que vous soyez déjà accros au Rogue-like Legend of Dungeon et pensiez l’avoir déjà fait, refait et défait, ses développeurs ont décidé de prolonger votre expérience en sortant une expansion gratuite : Legend Heroes. Rapidement, celle-ci vous apportera les réjouissances qui suivent : De nouvelles classes et animaux de compagnie déblocables PLUS de monstres PLUS de trésors PLUS de chapeaux PLUS de PLUS ! Vous voilà donc parés pour quelques temps, histoire de pouvoir continuer à répondre “nan pas ce soir, je suis pris ; un truc important”. Comme si on avait une vie sociale… N’importe quoi. Last but not least, ce DLC est gratuit ! En prime : Fiche de jeu Legend of Dungeon Aperçu Legend of Dungeon Le trailer de Legend of Dungeon : legend heroes expansion  

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Legend of dungeon banniere

Soyez heureux, soyez contents et tant pis pour la pluie qui freine nos hardeurs ! Car, pour peu que vous soyez déjà accros au Rogue-like Legend of Dungeon et pensiez l’avoir déjà fait, refait et défait, ses développeurs ont décidé de prolonger votre expérience en sortant une expansion gratuite : Legend Heroes.

Rapidement, celle-ci vous apportera les réjouissances qui suivent :

  • De nouvelles classes et animaux de compagnie déblocables
  • PLUS de monstres
  • PLUS de trésors
  • PLUS de chapeaux
  • PLUS de PLUS !

Vous voilà donc parés pour quelques temps, histoire de pouvoir continuer à répondre “nan pas ce soir, je suis pris ; un truc important”. Comme si on avait une vie sociale… N’importe quoi. Last but not least, ce DLC est gratuit !

En prime :

Le trailer de Legend of Dungeon : legend heroes expansion

 

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C’est dans la poche #5 : Shadowrun returns /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/ /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/#comments Tue, 24 Mar 2015 15:56:32 +0000 /?p=45693 Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris. Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sphères politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ? Français, Françaises, je vous ai compris. Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ? Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami). Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui : Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif. Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable… Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que. Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue. À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme). De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets. Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments. Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur. De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre : “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.” “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !” Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces. Pour en finir Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS… Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand). Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental. C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop ! Page google play de Shadowrun Returns (2.46€) Page Apple store de Shadowrun returns (2.99€) Trailer de Shadowrun Returns  

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shadowrun returns banniere

Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris.

Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sphères politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ?

Français, Françaises, je vous ai compris.

shadowrun return pub

Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ?

Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami).

Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui :

Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif.

Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable…

Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que.

Shadowrun returns spell

Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point

D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue.

À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme).

De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets.

Shadowrun return place

Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne

Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments.

Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur.

De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre :

  1. “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.”
  2. “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !”

Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces.

Shadowrun returns combat

Pour en finir

Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS…

Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand).

Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental.

C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop !

Trailer de Shadowrun Returns

 

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Humble bundle PC & Android : la charité compte double /2015/03/humble-bundle-pc-android-la-charite-compte-double/ /2015/03/humble-bundle-pc-android-la-charite-compte-double/#comments Wed, 18 Mar 2015 15:10:37 +0000 /?p=45612 Humble Bundle est le site qui fait plaisir aussi bien aux joueurs qu’aux défavorisés au travers des 10% reversés à des œuvres caritatives de tout poil pour chaque vente de jeu. De fait, on geek consciencieusement, bien qu’on ne sache que la moitié du temps en quoi consistent ces associations (à moins de vraiment s’y intéresser, bien sûr). Mais trêve d’introduction – bien qu’on adore ça – et place à ce qui nous intéresse : le Humble PC&Android que propose le site humblebundle.com. Ayant l’habitude de séparer ses offres par plateforme (livres, jeux PC/mac/linux ou portable), le site innove aujourd’hui au travers d’une offre vous permettant d’avoir accès aux jeux que vous acquérez aussi bien sur votre PC que sur votre portable (ou tablette). Et heureusement, il ne s’agit pas de nous annoncer le port de Angry Bird sur PC – ô joie. Mais voyez plutôt : Prix libre : Tetrobot & Co Titan Attacks ! The Inner World VVVVVV À partir de 4.96$ (et plus) Costume Quest IronClad Tactics D’avantage à venir… À partir de 10€ (et plus) : Shadowrun Returns Vous l’aurez compris, tous ces jeux sont aussi bien disponibles sur Android que sur PC. Une bonne occasion de se faire la main sur Tetrobot & Co, VVVVVV ou Shadowrun Returns (les autres sont probablement bons, mais je n’ai pas eu l’occasion de m’y essayer) ou encore d’y rejouer, maintenant sur portable. Attention tout de même, Shadowrun Returns requiert un portable qui sache le faire tourner (un xperia M2 suffit largement, pour vous faire une idée). Charité bien ordonnée commence par soi-même et continue avec les autres. Pour faire dans l’humanitaire pixelisé, c’est par ici : Humble Bundle PC&Android .

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Humble Bundle est le site qui fait plaisir aussi bien aux joueurs qu’aux défavorisés au travers des 10% reversés à des œuvres caritatives de tout poil pour chaque vente de jeu. De fait, on geek consciencieusement, bien qu’on ne sache que la moitié du temps en quoi consistent ces associations (à moins de vraiment s’y intéresser, bien sûr).

Mais trêve d’introduction – bien qu’on adore ça – et place à ce qui nous intéresse : le Humble PC&Android que propose le site humblebundle.com. Ayant l’habitude de séparer ses offres par plateforme (livres, jeux PC/mac/linux ou portable), le site innove aujourd’hui au travers d’une offre vous permettant d’avoir accès aux jeux que vous acquérez aussi bien sur votre PC que sur votre portable (ou tablette).

Et heureusement, il ne s’agit pas de nous annoncer le port de Angry Bird sur PC – ô joie. Mais voyez plutôt :

Prix libre :

humble bundle aperçu

À partir de 4.96$ (et plus)

Ironclad tactics + costume quest

À partir de 10€ (et plus) :

Shadowrun returns

Vous l’aurez compris, tous ces jeux sont aussi bien disponibles sur Android que sur PC. Une bonne occasion de se faire la main sur Tetrobot & Co, VVVVVV ou Shadowrun Returns (les autres sont probablement bons, mais je n’ai pas eu l’occasion de m’y essayer) ou encore d’y rejouer, maintenant sur portable. Attention tout de même, Shadowrun Returns requiert un portable qui sache le faire tourner (un xperia M2 suffit largement, pour vous faire une idée).

Charité bien ordonnée commence par soi-même et continue avec les autres. Pour faire dans l’humanitaire pixelisé, c’est par ici : Humble Bundle PC&Android .

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C’est dans la poche #4 : Badland /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/ /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/#comments Tue, 17 Mar 2015 15:53:50 +0000 /?p=45584 “Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça). Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland ! Bon, aller… AU CHARBON ! Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu. Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme. Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque. Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser. C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande. En fin de compte Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi. Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer. Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme. Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas. Page Apple Store de Badland Page Google Play Store de Badland Le trailer de Badland  

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Badland banniere

“Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça).

Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland !

Badland vert

Badland, c’est le “beaucoup” : on rapetisse beaucoup…

Bon, aller… AU CHARBON !

Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu.

Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme.

Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque.

Bad land boucherie

On meurt beaucoup, et à beaucoup…

Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine

Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser.

C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande.

bad land multi

Ou bien on grossit BEAUCOUP !

En fin de compte

Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi.

Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer.

Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme.

Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas.

Le trailer de Badland

 

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Annonce de Trine 3 : The Artifacts of Power /2015/03/annonce-trine-3-the-artifacts-of-power/ /2015/03/annonce-trine-3-the-artifacts-of-power/#comments Wed, 04 Mar 2015 13:18:22 +0000 /?p=45352 Trine, c’est un jeu mythique pour bon nombre de joueurs, pour lesquels la seule mention de la licence suffit à rappeler de longues parties, en solitaires ou à plusieurs, ainsi que de belles images qui n’ont pas encore fini d’émoustiller notre cœur fleur bleu de gamers romantiques (car nous le sommes tous un peu). Mais, romantique ou non, vient un moment où on a envie de concret. C’est ce que les développeurs de chez Frozenbyte ont compris et ont annoncé, pour le plus grand bonheur des fans de la saga, la sortie prochaine de Trine 3 : the artifacts of power, qui semble déjà en être à un stade de développement avancé. Pas de quoi tergiverser, une fois face aux screens et au trailer de Trine 3 : tout cela a l’air aussi beau que prometteur. À tel point qu’on se demande si on ne va pas finir écrasé sous une masse titanesque, à force de se perdre dans la contemplation des décors, baignés d’une douce lueur chatoyante, d’où émergent montagnes, arbres majestueux et quantités de créatures avec qui il fait bon partager un thé à la menthe. Trine 3 : the artifacts of power est en tout cas en chemin, et même en bonne route, puisque le titre sera disponible courant 2015. On en salive d’avance, c’est tout de même plus concret qu’un Half-Life 3 (quoique, des rumeurs courent, soit dit en passant…). Plus de nouvelles pour bientôt ! Quand on y pense : si Trine ne vous fait penser à rien de plus que Scooty (mon chien), profitez de l’offre que propose Steam jusqu’au 14/03/2015, où les deux premiers épisodes sont proposés à -85%. Le trailer de Trine 3: the artifacts of power

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trine 3 banniere

Trine, c’est un jeu mythique pour bon nombre de joueurs, pour lesquels la seule mention de la licence suffit à rappeler de longues parties, en solitaires ou à plusieurs, ainsi que de belles images qui n’ont pas encore fini d’émoustiller notre cœur fleur bleu de gamers romantiques (car nous le sommes tous un peu).

Mais, romantique ou non, vient un moment où on a envie de concret. C’est ce que les développeurs de chez Frozenbyte ont compris et ont annoncé, pour le plus grand bonheur des fans de la saga, la sortie prochaine de Trine 3 : the artifacts of power, qui semble déjà en être à un stade de développement avancé.

trine 3 combat

Pas de quoi tergiverser, une fois face aux screens et au trailer de Trine 3 : tout cela a l’air aussi beau que prometteur. À tel point qu’on se demande si on ne va pas finir écrasé sous une masse titanesque, à force de se perdre dans la contemplation des décors, baignés d’une douce lueur chatoyante, d’où émergent montagnes, arbres majestueux et quantités de créatures avec qui il fait bon partager un thé à la menthe.

trine 3  plaine

Trine 3 : the artifacts of power est en tout cas en chemin, et même en bonne route, puisque le titre sera disponible courant 2015. On en salive d’avance, c’est tout de même plus concret qu’un Half-Life 3 (quoique, des rumeurs courent, soit dit en passant…). Plus de nouvelles pour bientôt !

Quand on y pense : si Trine ne vous fait penser à rien de plus que Scooty (mon chien), profitez de l’offre que propose Steam jusqu’au 14/03/2015, où les deux premiers épisodes sont proposés à -85%.

Le trailer de Trine 3: the artifacts of power

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C’est dans la poche #3 : Monument Valley /2015/03/cest-poche-3-monument-valley/ /2015/03/cest-poche-3-monument-valley/#comments Tue, 03 Mar 2015 14:16:59 +0000 /?p=45301 Les poches se vident plus vite qu’elles ne se remplissent, c’est bien connu. Mais nous avons l’esprit de contradiction, d’où cette troisième édition de C’est dans la Poche qui vous présente – sous vos yeux ébahis et stupéfaits – Monument Valley (on s’en doute, ça va être mo-nu-men-tal) ! Car j’ai beau fouiller, retourner, gratouiller sous la croûte ou sortir ma pelle et ma pioche, j’aurais plus tôt fait de déterrer un fossile de crustalophacé que de trouver un titre qui surpasse Monument Valley en esthétique et en simplicité. Cela dit – et bien qu’un fossile, ce soit chouette – ne faites pas comme moi, vous n’en trouveriez pas. Faites-moi confiance, j’ai un diplôme. Deux, même. Loin de la vallée des morts, un monument de couleur Commençons par un petit rappel : Monument Valley est un jeu de réflexion et d’énigmes se servant des illusions d’optique pour vous perdre et vous faire cogiter. Là où les développeurs auraient pu se contenter de plonger le joueur dans un univers simpliste, mettant l’accent sur la réflexion, on se retrouve à chaque niveau avec, entre les mains, une véritable illustration tout droit sortie d’un livre de contes pour enfants. C’est bien simple : avant de commencer à se triturer les méninges pour vous sortir de chaque niveau, on va passer un bon moment à y rester pour admirer l’image qui nous est offerte en premier lieu, ainsi que les effets visuels que déclenche chaque mécanisme. Comble du bonheur, les développeurs ont doté le jeu d’une petite touche qui permet de prendre des screenshots (évidemment débarrassé de toute trace de l’interface) à tout moment. Alors certes, c’est un peu narcissique sur les bords, mais ça en vaut la peine. Rouler des mécaniques en musique Pensé dès le départ pour les plateformes mobiles, Monument Valley se joue intégralement avec un doigt pour tout l’écran (pas de pad virtuel), par le biais duquel vous déplacerez l’héroïne du jeu (une jolie princesse avec un chapeau pointu tout blanc mignon et une robe toute blanche qui fait frou frou). De nombreux éléments, dans chaque niveaux, sont amovibles et vous permettront de résoudre les énigmes pour progresser jusqu’à la fin du jeu. Et, comme dit plus tôt, le titre étant axé (au sens propre) sur les illusions d’optiques, il vous faudra réfléchir à la meilleure manière d’en tirer parti pour vous en sortir. Enfin, le dernier et pas le moindre, Monument Valley jouit d’un travail musical enchanteur, où chaque action, mouvement et transformation ont été agrémentés du son d’un instrument qui leur est propre. Que ce soit à la sélection des niveaux, lorsque vous faites tourner un pont ou apparaître un escalier, vous aurez droit à un son de harpe, guitare ou percussion. Pour une fois, l’écran de sélection des niveaux est un plaisir pour les yeux, aussi bien que pour les oreilles. Pour finir Je ne peux que recommander chaudement ce jeu, qui, bien qu’assez court, a su écourté et enchanté quelques trajets et matinées paresseuses. Si vous êtes tenté par la perspective d’une nouvelle bibliothèque de fonds d’écrans colorés et par une aventure poétique, aussi agréable à l’œil qu’à l’oreille, lancez-vous ! Je suis prêt à parier que vous ne serez pas déçu (tant qu’on ne joue rien). Monument Valley est disponible pour Android et iOs pour la somme de 3.59€ . Page Google Play de Monument Valley Page Apple Store de Monument Valley Bande annonce de Monument Valley

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Monument Valley banniere

Les poches se vident plus vite qu’elles ne se remplissent, c’est bien connu. Mais nous avons l’esprit de contradiction, d’où cette troisième édition de C’est dans la Poche qui vous présente – sous vos yeux ébahis et stupéfaits – Monument Valley (on s’en doute, ça va être mo-nu-men-tal) !

Car j’ai beau fouiller, retourner, gratouiller sous la croûte ou sortir ma pelle et ma pioche, j’aurais plus tôt fait de déterrer un fossile de crustalophacé que de trouver un titre qui surpasse Monument Valley en esthétique et en simplicité. Cela dit – et bien qu’un fossile, ce soit chouette – ne faites pas comme moi, vous n’en trouveriez pas. Faites-moi confiance, j’ai un diplôme. Deux, même.

Monument Valley look up

Loin de la vallée des morts, un monument de couleur

Commençons par un petit rappel : Monument Valley est un jeu de réflexion et d’énigmes se servant des illusions d’optique pour vous perdre et vous faire cogiter. Là où les développeurs auraient pu se contenter de plonger le joueur dans un univers simpliste, mettant l’accent sur la réflexion, on se retrouve à chaque niveau avec, entre les mains, une véritable illustration tout droit sortie d’un livre de contes pour enfants.

C’est bien simple : avant de commencer à se triturer les méninges pour vous sortir de chaque niveau, on va passer un bon moment à y rester pour admirer l’image qui nous est offerte en premier lieu, ainsi que les effets visuels que déclenche chaque mécanisme. Comble du bonheur, les développeurs ont doté le jeu d’une petite touche qui permet de prendre des screenshots (évidemment débarrassé de toute trace de l’interface) à tout moment. Alors certes, c’est un peu narcissique sur les bords, mais ça en vaut la peine.

Monument valley ocean

Rouler des mécaniques en musique

Pensé dès le départ pour les plateformes mobiles, Monument Valley se joue intégralement avec un doigt pour tout l’écran (pas de pad virtuel), par le biais duquel vous déplacerez l’héroïne du jeu (une jolie princesse avec un chapeau pointu tout blanc mignon et une robe toute blanche qui fait frou frou).

De nombreux éléments, dans chaque niveaux, sont amovibles et vous permettront de résoudre les énigmes pour progresser jusqu’à la fin du jeu. Et, comme dit plus tôt, le titre étant axé (au sens propre) sur les illusions d’optiques, il vous faudra réfléchir à la meilleure manière d’en tirer parti pour vous en sortir.

Enfin, le dernier et pas le moindre, Monument Valley jouit d’un travail musical enchanteur, où chaque action, mouvement et transformation ont été agrémentés du son d’un instrument qui leur est propre. Que ce soit à la sélection des niveaux, lorsque vous faites tourner un pont ou apparaître un escalier, vous aurez droit à un son de harpe, guitare ou percussion. Pour une fois, l’écran de sélection des niveaux est un plaisir pour les yeux, aussi bien que pour les oreilles.

Monument Valley rond

Pour finir

Je ne peux que recommander chaudement ce jeu, qui, bien qu’assez court, a su écourté et enchanté quelques trajets et matinées paresseuses. Si vous êtes tenté par la perspective d’une nouvelle bibliothèque de fonds d’écrans colorés et par une aventure poétique, aussi agréable à l’œil qu’à l’oreille, lancez-vous !

Je suis prêt à parier que vous ne serez pas déçu (tant qu’on ne joue rien).

Monument Valley est disponible pour Android et iOs pour la somme de 3.59€ .

Bande annonce de Monument Valley

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