Game Sphere » Actualité Le webzine des jeux vidéos indépendant Thu, 02 Apr 2015 20:48:25 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.0.1 No Man’s Sky gratuit : Hello Games mise sur le free to play /2015/04/no-mans-sky-gratuit-hello-games-mise-sur-le-free-to-play/ /2015/04/no-mans-sky-gratuit-hello-games-mise-sur-le-free-to-play/#comments Wed, 01 Apr 2015 14:44:16 +0000 /?p=45760 La conquête de l’espace à la portée de tous ? C’est en tout cas le souhait du studio Hello Games en annonçant la gratuité du très attendu No Man’s Sky. Avec la promesse d’un univers sans fin, le studio souhaite devenir une référence en la matière. Et bien conscient de l’attrait grandissant de leur jeu, les développeurs préfèrent miser sur le free to play pour ainsi avoir un univers peuplé de milliers et de milliers de joueurs. Mais qui dit Free to play ne veut pas forcément dire Pay to Win. Si vous voulez jouer seul, vous n’aurez à débourser un euro. Cependant, si vous voulez jouer avec des amis ou alors garder un contact avec vos rencontres en jeu il vous faudra débourser quelques euros. Un abonnement ? Un pass ? Aucune information n’a encore filtrée, mais tout l’aspect communautaire du jeu ne sera donc disponible qu’en échange d’un paiement. En plus de pouvoir avoir une liste d’amis, de pouvoir contacter les autres aventuriers facilement, connaitre leur localisation, etc… il y aura également à disposition, pour les joueurs désirant avoir un point de chute en commun, un vaisseau mère géant qui pourra vous accueillir ainsi que vos amis. No Man’s Sky gratuit : une bonne idée ? A priori, oui ! Les joueurs souhaitant vivre une expérience d’exploration et ne donnant aucune importance à l’aspect communautaire risquent d’être très satisfaits de cette annonce. Ces joueurs qui n’auraient peut-être pas acheté le jeu seront d’autant plus d’explorateurs que vous pourrez rencontrer lors de vos différentes expéditions. Mais en ce qui concerne les joueurs qui ne jurent que pas l’aspect communautaire, il faudra encore patienter pour avoir plus amples informations sur les prix et différentes offres qui seront proposées ! Et pour la date de sortie,aucune n’a encore été annoncée. No man’s Sky – Trailer

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No man's sky banniere

La conquête de l’espace à la portée de tous ? C’est en tout cas le souhait du studio Hello Games en annonçant la gratuité du très attendu No Man’s Sky.

Avec la promesse d’un univers sans fin, le studio souhaite devenir une référence en la matière. Et bien conscient de l’attrait grandissant de leur jeu, les développeurs préfèrent miser sur le free to play pour ainsi avoir un univers peuplé de milliers et de milliers de joueurs.

Mais qui dit Free to play ne veut pas forcément dire Pay to Win. Si vous voulez jouer seul, vous n’aurez à débourser un euro. Cependant, si vous voulez jouer avec des amis ou alors garder un contact avec vos rencontres en jeu il vous faudra débourser quelques euros. Un abonnement ? Un pass ? Aucune information n’a encore filtrée, mais tout l’aspect communautaire du jeu ne sera donc disponible qu’en échange d’un paiement. En plus de pouvoir avoir une liste d’amis, de pouvoir contacter les autres aventuriers facilement, connaitre leur localisation, etc… il y aura également à disposition, pour les joueurs désirant avoir un point de chute en commun, un vaisseau mère géant qui pourra vous accueillir ainsi que vos amis.

No Man’s Sky gratuit : une bonne idée ?

A priori, oui ! Les joueurs souhaitant vivre une expérience d’exploration et ne donnant aucune importance à l’aspect communautaire risquent d’être très satisfaits de cette annonce. Ces joueurs qui n’auraient peut-être pas acheté le jeu seront d’autant plus d’explorateurs que vous pourrez rencontrer lors de vos différentes expéditions. Mais en ce qui concerne les joueurs qui ne jurent que pas l’aspect communautaire, il faudra encore patienter pour avoir plus amples informations sur les prix et différentes offres qui seront proposées !

Et pour la date de sortie,aucune n’a encore été annoncée.

No man’s Sky – Trailer

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Magicka 2 : Un trailer et une date /2015/04/magicka-2-un-trailer-et-une-date/ /2015/04/magicka-2-un-trailer-et-une-date/#comments Wed, 01 Apr 2015 12:12:54 +0000 /?p=45745 C'est à travers un trailer posté tout récemment sur la toile que Paradox Interactive annonce la date de sortie toute prochaine de leur suite à Magicka, sobrement intitulé Magicka 2.

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Magicka 2

C’est à travers un trailer posté tout récemment sur la toile que l’éditeur Paradox Interactive annonce la date de sortie toute prochaine de la suite de Magicka, sobrement intitulé Magicka 2.

Outre la délicieuse parodie du générique maintenant devenu culte de la série Game of Thrones, le trailer nous parle de plusieurs features dont le retour du mode Co-op qui permettra à jusqu’à 4 joueurs de faire équipe pour prendre plaisir à mélanger les éléments afin de créer toutes sortes de sorts plus ou moins efficaces et farfelus et les tester sur une armée de mobs n’attendant que ça.

On notera aussi que le jeu n’a pas été développé par les papas de premier épisode (Arrowhead Game Studios) mais par Pieces Interactives, déjà responsable de quelques jeux de moins grande envergure.

Préparez donc votre plus belle robe à capuche, mais ne la prenez pas trop chaude car c’est le 26 mai prochain que tout les apprentis sorciers de la planète pourront mettre la main sur Magicka 2.

Magicka 2 – Trailer d’annonce date de sortie

 

 

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The Talos Principle s’enrichit d’une extension /2015/03/the-talos-principle-senrichit-dune-extension/ /2015/03/the-talos-principle-senrichit-dune-extension/#comments Fri, 27 Mar 2015 11:00:43 +0000 /?p=45714 Les Croates de Croteam, plutôt habitué à faire dans la bourrinage en règle (géniteurs de la série des Serious Sam) nous avaient bien surpris en sortant il y a quelques mois : The Talos Principle. Un Portal-like plutôt bien foutu sur fond de philosophie existentielle (chez Game Sphere aussi, on aimerait connaître le sens de la vie...).

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The Talos Principle

Les Croates de Croteam, plutôt habitués à faire dans le bourrinage en règle (géniteurs de la série des Serious Sam) nous avaient bien surpris en sortant il y a quelques mois : The Talos Principle. Un “Portal-like” plutôt bien foutu sur fond de philosophie existentielle (chez Game Sphere aussi, on aimerait connaître le sens de la vie…).

C’est donc avec une certaine joie voire une joie certaine que l’on apprend aujourd’hui qu’une extension au jeu de base -ou devrais-je dire DLC ?- est prévue pour ce printemps sur Steam.

Intitulée Road to Gehenna, elle prendra place dans le même univers et mettra le joueur aux commandes d’Uriel, messager d’Elohim qui devra libérer, au prix de lourds sacrifices, les âmes des damnés. Chouette programme.

Selon les développeurs, les puzzles de Road to Gehenna seront parmi les plus difficiles du jeu et s’adressent donc à des joueurs connaissant bien les mécanismes de l’aventure initiale.

Par contre, aucun prix n’a été encore annoncé, à suivre donc.

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Deadwood : Pinocchio chez les zombies /2015/03/deadwood-pinocchio-chez-les-zombies/ /2015/03/deadwood-pinocchio-chez-les-zombies/#comments Wed, 25 Mar 2015 15:00:16 +0000 /?p=45687 Steamroller Studios, créateur du jeu iOS Super Shock Football, s’illustre sur Kickstarter pour un jeu particulièrement attrayant : Deadwood : The Forgotten Curse. Deadwood est un jeu d’aventure avec un aspect survie assez important. Vous incarnez Lathe, un pantin en bois, accompagné de Roguard, son ami le géant de pierre et vous explorez la région de Knottington. Si le jour tout va bien, la nuit, vous vous ferez attaquer par une horde de zombies de bois. Ca pourrait être un simple jeu de zombie si Roguard n’avait pas la fâcheuse idée de dormir la nuit. Vous allez devoir créer un fort ou des barricades pour le protéger en utilisant les ressources que vous auriez trouvées le jour. Le jeu se démarque essentiellement par son aspect graphique léché, très cartoon avec plein de pantins en bois. Cette qualité graphique vient du fait que les développeurs viennent, pour une partie, de studios de cinéma tels que DreamWorks (How to train your dragon) ou Weta (The Hobbit, Avatar) et qu’ils mettent leurs talents au service de Deadwood. Sorti il y a deux semaines, le Kickstarter n’a atteint que 30% du financement, soit environ 22,000$ sur 65’000$ demandés. Le financement s’avère compliqué si le boost de fin n’est pas assez conséquent. Le jeu est prévu pour PC, Linux et Mac et sortirait en octobre 2016. Si aucun stretch goal n’a été annoncé à ce jour, Il est toutefois précisé que d’autres plateformes seraient à venir. Fiche du jeu Site officiel Page kickstarter

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Deadwood1Steamroller Studios, créateur du jeu iOS Super Shock Football, s’illustre sur Kickstarter pour un jeu particulièrement attrayant : Deadwood : The Forgotten Curse.

Deadwood est un jeu d’aventure avec un aspect survie assez important. Vous incarnez Lathe, un pantin en bois, accompagné de Roguard, son ami le géant de pierre et vous explorez la région de Knottington. Si le jour tout va bien, la nuit, vous vous ferez attaquer par une horde de zombies de bois. Ca pourrait être un simple jeu de zombie si Roguard n’avait pas la fâcheuse idée de dormir la nuit. Vous allez devoir créer un fort ou des barricades pour le protéger en utilisant les ressources que vous auriez trouvées le jour.

Le jeu se démarque essentiellement par son aspect graphique léché, très cartoon avec plein de pantins en bois. Cette qualité graphique vient du fait que les développeurs viennent, pour une partie, de studios de cinéma tels que DreamWorks (How to train your dragon) ou Weta (The Hobbit, Avatar) et qu’ils mettent leurs talents au service de Deadwood.

Deadwood

Sorti il y a deux semaines, le Kickstarter n’a atteint que 30% du financement, soit environ 22,000$ sur 65’000$ demandés. Le financement s’avère compliqué si le boost de fin n’est pas assez conséquent.

Le jeu est prévu pour PC, Linux et Mac et sortirait en octobre 2016. Si aucun stretch goal n’a été annoncé à ce jour, Il est toutefois précisé que d’autres plateformes seraient à venir.

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Legend of Dungeon : Legend heroes expansion /2015/03/legend-of-dungeon-legend-heroes-expansion/ /2015/03/legend-of-dungeon-legend-heroes-expansion/#comments Wed, 25 Mar 2015 09:44:09 +0000 /?p=45713 Soyez heureux, soyez contents et tant pis pour la pluie qui freine nos hardeurs ! Car, pour peu que vous soyez déjà accros au Rogue-like Legend of Dungeon et pensiez l’avoir déjà fait, refait et défait, ses développeurs ont décidé de prolonger votre expérience en sortant une expansion gratuite : Legend Heroes. Rapidement, celle-ci vous apportera les réjouissances qui suivent : De nouvelles classes et animaux de compagnie déblocables PLUS de monstres PLUS de trésors PLUS de chapeaux PLUS de PLUS ! Vous voilà donc parés pour quelques temps, histoire de pouvoir continuer à répondre “nan pas ce soir, je suis pris ; un truc important”. Comme si on avait une vie sociale… N’importe quoi. Last but not least, ce DLC est gratuit ! En prime : Fiche de jeu Legend of Dungeon Aperçu Legend of Dungeon Le trailer de Legend of Dungeon : legend heroes expansion  

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Legend of dungeon banniere

Soyez heureux, soyez contents et tant pis pour la pluie qui freine nos hardeurs ! Car, pour peu que vous soyez déjà accros au Rogue-like Legend of Dungeon et pensiez l’avoir déjà fait, refait et défait, ses développeurs ont décidé de prolonger votre expérience en sortant une expansion gratuite : Legend Heroes.

Rapidement, celle-ci vous apportera les réjouissances qui suivent :

  • De nouvelles classes et animaux de compagnie déblocables
  • PLUS de monstres
  • PLUS de trésors
  • PLUS de chapeaux
  • PLUS de PLUS !

Vous voilà donc parés pour quelques temps, histoire de pouvoir continuer à répondre “nan pas ce soir, je suis pris ; un truc important”. Comme si on avait une vie sociale… N’importe quoi. Last but not least, ce DLC est gratuit !

En prime :

Le trailer de Legend of Dungeon : legend heroes expansion

 

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C’est dans la poche #5 : Shadowrun returns /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/ /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/#comments Tue, 24 Mar 2015 15:56:32 +0000 /?p=45693 Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris. Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sphères politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ? Français, Françaises, je vous ai compris. Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ? Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami). Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui : Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif. Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable… Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que. Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue. À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme). De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets. Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments. Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur. De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre : “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.” “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !” Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces. Pour en finir Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS… Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand). Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental. C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop ! Page google play de Shadowrun Returns (2.46€) Page Apple store de Shadowrun returns (2.99€) Trailer de Shadowrun Returns  

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shadowrun returns banniere

Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris.

Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sphères politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ?

Français, Françaises, je vous ai compris.

shadowrun return pub

Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ?

Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami).

Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui :

Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif.

Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable…

Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que.

Shadowrun returns spell

Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point

D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue.

À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme).

De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets.

Shadowrun return place

Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne

Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments.

Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur.

De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre :

  1. “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.”
  2. “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !”

Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces.

Shadowrun returns combat

Pour en finir

Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS…

Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand).

Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental.

C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop !

Trailer de Shadowrun Returns

 

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C’est l’heure du bilan : Edge of Eternity /2015/03/cest-lheure-du-bilan-edge-of-eternity/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-edge-of-eternity/#comments Mon, 23 Mar 2015 14:36:05 +0000 /?p=45668 Edge of Eternity est un JRPG qui vous mettra dans les bottes de Daryon, un jeune homme qui voit son monde être envahi par des aliens qui ont propagé un virus transformant les humains et les animaux en monstres de métal. Votre mission sera bien évidemment de trouver la source du mal qui détruit votre monde et de l’éradiquer pour sauver ce qui peut encore l’être. Fiche de jeu : Edge of Eternity Bilan de la campagne 4 045 bakers (environ 39,86$ par don en moyenne). 161 246$ ont été réunis (117 246$ de plus par rapport aux 44 000$ initialement demandés). 5 paliers de financement ont été atteints. Le premier palier (60 000$) donnera la possibilité au studio français de porter son jeu sur PS4 et Xbox One, le deuxième (75 000$) permettra de créer un élevage de Nekaroo, il s’agira d’une sorte de jeu dans le jeu lui-même avec des bâtiments à améliorer et des ressources à acquérir, le troisième palier (95 000$) vous donnera accès à un système d’artisanat, le quatrième (130 000$) ravira vos oreilles puisque Yasunori Mitsuda composera les musiques du jeu avec un orchestre, et le cinquième (160 000$) vous permettra de jouer deux nouveaux personnages avec leurs propres intrigues. Si vous avez loupé la campagne Kickstarter du projet, vous pouvez tout de même contribuer au développement de ce dernier, et le précommander par la même occasion, à cette adresse. Il faudra cependant être patient puisque Midgar Studio ne prévoit pas de sortir Edge of Eternity avec la fin de l’année 2016 sur PC, Mac, Linux, PS4 et Xbox One. Edge of Eternity – Trailer (Pre alpha)

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Edge of Eternity

Edge of Eternity est un JRPG qui vous mettra dans les bottes de Daryon, un jeune homme qui voit son monde être envahi par des aliens qui ont propagé un virus transformant les humains et les animaux en monstres de métal. Votre mission sera bien évidemment de trouver la source du mal qui détruit votre monde et de l’éradiquer pour sauver ce qui peut encore l’être.

Bilan de la campagne

  • 4 045 bakers (environ 39,86$ par don en moyenne).
  • 161 246$ ont été réunis (117 246$ de plus par rapport aux 44 000$ initialement demandés).
  • 5 paliers de financement ont été atteints.

Le premier palier (60 000$) donnera la possibilité au studio français de porter son jeu sur PS4 et Xbox One, le deuxième (75 000$) permettra de créer un élevage de Nekaroo, il s’agira d’une sorte de jeu dans le jeu lui-même avec des bâtiments à améliorer et des ressources à acquérir, le troisième palier (95 000$) vous donnera accès à un système d’artisanat, le quatrième (130 000$) ravira vos oreilles puisque Yasunori Mitsuda composera les musiques du jeu avec un orchestre, et le cinquième (160 000$) vous permettra de jouer deux nouveaux personnages avec leurs propres intrigues.

Si vous avez loupé la campagne Kickstarter du projet, vous pouvez tout de même contribuer au développement de ce dernier, et le précommander par la même occasion, à cette adresse. Il faudra cependant être patient puisque Midgar Studio ne prévoit pas de sortir Edge of Eternity avec la fin de l’année 2016 sur PC, Mac, Linux, PS4 et Xbox One.

Edge of Eternity – Trailer (Pre alpha)

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Sortie : Woolfe : The Red Hood Diaries /2015/03/sortie-woolfe-the-red-hood-diaries/ /2015/03/sortie-woolfe-the-red-hood-diaries/#comments Wed, 18 Mar 2015 22:22:48 +0000 /?p=45622 Après une campagne Kickstarter réussie (72 139 $ récoltés pour 50 000 $ espérés) et quelques mois de développement, Woolfe : The Red Hood Diaries est désormais disponible.

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Woolfe

Après une campagne Kickstarter réussie (72 139 $ récoltés pour 50 000 $ espérés) et quelques mois de développement (et une période en accès anticipée), Woolfe : The Red Hood Diaries est désormais disponible.

Cette annonce ne concerne cependant que la version PC du jeu d’action aventure développé par GRIN qui peut être téléchargé sur la plateforme Steam pour la somme de 9,99 €.

Les versions consoles de salon prévues, à savoir Xbox One et Playstation 4 devrait quant à elle voir le jour au cours du deuxième trimestre de cette année.

Woolfe : The Red Hood Diaries – Trailer de lancement

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Humble bundle PC & Android : la charité compte double /2015/03/humble-bundle-pc-android-la-charite-compte-double/ /2015/03/humble-bundle-pc-android-la-charite-compte-double/#comments Wed, 18 Mar 2015 15:10:37 +0000 /?p=45612 Humble Bundle est le site qui fait plaisir aussi bien aux joueurs qu’aux défavorisés au travers des 10% reversés à des œuvres caritatives de tout poil pour chaque vente de jeu. De fait, on geek consciencieusement, bien qu’on ne sache que la moitié du temps en quoi consistent ces associations (à moins de vraiment s’y intéresser, bien sûr). Mais trêve d’introduction – bien qu’on adore ça – et place à ce qui nous intéresse : le Humble PC&Android que propose le site humblebundle.com. Ayant l’habitude de séparer ses offres par plateforme (livres, jeux PC/mac/linux ou portable), le site innove aujourd’hui au travers d’une offre vous permettant d’avoir accès aux jeux que vous acquérez aussi bien sur votre PC que sur votre portable (ou tablette). Et heureusement, il ne s’agit pas de nous annoncer le port de Angry Bird sur PC – ô joie. Mais voyez plutôt : Prix libre : Tetrobot & Co Titan Attacks ! The Inner World VVVVVV À partir de 4.96$ (et plus) Costume Quest IronClad Tactics D’avantage à venir… À partir de 10€ (et plus) : Shadowrun Returns Vous l’aurez compris, tous ces jeux sont aussi bien disponibles sur Android que sur PC. Une bonne occasion de se faire la main sur Tetrobot & Co, VVVVVV ou Shadowrun Returns (les autres sont probablement bons, mais je n’ai pas eu l’occasion de m’y essayer) ou encore d’y rejouer, maintenant sur portable. Attention tout de même, Shadowrun Returns requiert un portable qui sache le faire tourner (un xperia M2 suffit largement, pour vous faire une idée). Charité bien ordonnée commence par soi-même et continue avec les autres. Pour faire dans l’humanitaire pixelisé, c’est par ici : Humble Bundle PC&Android .

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humble pc&android banniere

Humble Bundle est le site qui fait plaisir aussi bien aux joueurs qu’aux défavorisés au travers des 10% reversés à des œuvres caritatives de tout poil pour chaque vente de jeu. De fait, on geek consciencieusement, bien qu’on ne sache que la moitié du temps en quoi consistent ces associations (à moins de vraiment s’y intéresser, bien sûr).

Mais trêve d’introduction – bien qu’on adore ça – et place à ce qui nous intéresse : le Humble PC&Android que propose le site humblebundle.com. Ayant l’habitude de séparer ses offres par plateforme (livres, jeux PC/mac/linux ou portable), le site innove aujourd’hui au travers d’une offre vous permettant d’avoir accès aux jeux que vous acquérez aussi bien sur votre PC que sur votre portable (ou tablette).

Et heureusement, il ne s’agit pas de nous annoncer le port de Angry Bird sur PC – ô joie. Mais voyez plutôt :

Prix libre :

humble bundle aperçu

À partir de 4.96$ (et plus)

Ironclad tactics + costume quest

À partir de 10€ (et plus) :

Shadowrun returns

Vous l’aurez compris, tous ces jeux sont aussi bien disponibles sur Android que sur PC. Une bonne occasion de se faire la main sur Tetrobot & Co, VVVVVV ou Shadowrun Returns (les autres sont probablement bons, mais je n’ai pas eu l’occasion de m’y essayer) ou encore d’y rejouer, maintenant sur portable. Attention tout de même, Shadowrun Returns requiert un portable qui sache le faire tourner (un xperia M2 suffit largement, pour vous faire une idée).

Charité bien ordonnée commence par soi-même et continue avec les autres. Pour faire dans l’humanitaire pixelisé, c’est par ici : Humble Bundle PC&Android .

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C’est dans la poche #4 : Badland /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/ /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/#comments Tue, 17 Mar 2015 15:53:50 +0000 /?p=45584 “Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça). Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland ! Bon, aller… AU CHARBON ! Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu. Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme. Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque. Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser. C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande. En fin de compte Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi. Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer. Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme. Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas. Page Apple Store de Badland Page Google Play Store de Badland Le trailer de Badland  

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Badland banniere

“Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça).

Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland !

Badland vert

Badland, c’est le “beaucoup” : on rapetisse beaucoup…

Bon, aller… AU CHARBON !

Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu.

Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme.

Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque.

Bad land boucherie

On meurt beaucoup, et à beaucoup…

Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine

Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser.

C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande.

bad land multi

Ou bien on grossit BEAUCOUP !

En fin de compte

Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi.

Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer.

Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme.

Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas.

Le trailer de Badland

 

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