Game Sphere » Chronique Le webzine des jeux vidéos indépendant Sun, 29 Mar 2015 15:52:55 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.0.1 C’est gratuit : Yes, Master, The Aspect, Red Rogue /2015/03/cest-gratuit-yes-master-the-aspect-red-rogue/ /2015/03/cest-gratuit-yes-master-the-aspect-red-rogue/#comments Wed, 25 Mar 2015 13:00:08 +0000 /?p=45684 Yes, Master Yes, Master, de Andrew Benson, Laurenz Rau, Leônidas Pereira, est un jeu d’action/aventure qui vous mettra dans la peau d’un personnage banal qui va devenir le héros d’un jeu-vidéo. Ce dernier obéira aux ordres de son maître, vous, le joueur, qui vous amusez derrière votre écran, pendant que lui aura à vivre avec toutes les choses que vous lui ferez faire. Il ne vous faudra pas longtemps avant de voir le bout de ce jeu mais il propose un point de vue intéressant sur la perception des choses. Jouer à Yes, Master The Aspect The Aspect, de Backterria, est un jeu d’aventure dans lequel vous êtes en retard pour participer à une cérémonie mystique. Avant de prendre part à cette dernière, vous devrez récupérer quelques éléments nécessaires à son bon déroulement. Bien qu’assez court, The Aspect a le mérite de proposer une fin surprenante que personne, ou presque, n’aurait pu prédire. Télécharger The Aspect Red Rogue Red Rogue, de Aaron Steed, est un rogue-like dans lequel vous devrez descendre dans le Donjon du Chaos à la recherche de l’Amulette de Yendor, et tuer tous ceux qui se trouveront sur votre chemin. Voici un jeu fort sympathique qui saura vous retenir un petit moment si vous accrochez. Télécharger / Jouer à Red Rogue

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Yes, Master

Yes, Master, de Andrew Benson, Laurenz Rau, Leônidas Pereira, est un jeu d’action/aventure qui vous mettra dans la peau d’un personnage banal qui va devenir le héros d’un jeu-vidéo. Ce dernier obéira aux ordres de son maître, vous, le joueur, qui vous amusez derrière votre écran, pendant que lui aura à vivre avec toutes les choses que vous lui ferez faire.

Il ne vous faudra pas longtemps avant de voir le bout de ce jeu mais il propose un point de vue intéressant sur la perception des choses.

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The Aspect

The Aspect, de Backterria, est un jeu d’aventure dans lequel vous êtes en retard pour participer à une cérémonie mystique. Avant de prendre part à cette dernière, vous devrez récupérer quelques éléments nécessaires à son bon déroulement.

Bien qu’assez court, The Aspect a le mérite de proposer une fin surprenante que personne, ou presque, n’aurait pu prédire.

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Red Rogue

Red Rogue, de Aaron Steed, est un rogue-like dans lequel vous devrez descendre dans le Donjon du Chaos à la recherche de l’Amulette de Yendor, et tuer tous ceux qui se trouveront sur votre chemin.

Voici un jeu fort sympathique qui saura vous retenir un petit moment si vous accrochez.

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C’est dans la poche #5 : Shadowrun returns /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/ /2015/03/cest-dans-la-poche-5-shadowrun-returns/#comments Tue, 24 Mar 2015 15:56:32 +0000 /?p=45693 Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris. Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sph��res politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ? Français, Françaises, je vous ai compris. Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ? Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami). Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui : Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif. Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable… Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que. Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue. À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme). De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets. Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments. Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur. De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre : “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.” “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !” Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces. Pour en finir Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS… Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand). Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental. C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop ! Page google play de Shadowrun Returns (2.46€) Page Apple store de Shadowrun returns (2.99€) Trailer de Shadowrun Returns  

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shadowrun returns banniere

Une semaine est si vite passée… On se demande d’ailleurs comment, sachant que Secret Story n’a toujours pas commencé. Mais j’oubliais qu‘une chronique aussi passionnante qu’enrichissante vous donnait les clés d’une savoureuse perte de temps. Quoi de plus normal, puisque c’est moi qui l’écris.

Cette semaine donc, après vous avoir parlé de Badland qui sera porté sur PC d’ici peu, le sujet de C’est Dans La Poche concerne Shadowrun Returns, qui a donc été porté sur plate-forme mobile après s’être fait les crocs sur PC. La question qui anime maintenant jusqu’aux plus hautes sphères politiques alors qu’on diagnostique déjà des cancers du poumon chez des gosses dans les plus grandes villes est la suivante : est-ce que Shadowrun Returns vaut le coup ?

Français, Françaises, je vous ai compris.

shadowrun return pub

Le retour de l’ombre coursé. Le retournement de la course ombré ?

Cela fait maintenant un petit bout de temps que Shadowrun Returns est sorti sur PC ; deux ans cet été pour être exact. Et puisque nous sommes (presque) toujours à la page, nous en avions fait un test, que vous pouvez trouver ici (et vous feriez bien d’y jeter un œil, surtout si vous êtes en train de demander à un ami de quoi je suis en train de parler. D’autant plus si vous n’avez pas d’ami).

Mais depuis, les choses ont bien changé : Shadowrun Returns est maintenant disponible sur plateformes mobiles, d’où l’intérêt de vous le présenter aujourd’hui :

Ce qui était, à mon sens, le gros handicap du titre était sa redondance, que l’on ressentait au travers des allers et retours incessants que nous devions faire entre sa base et le lieu de la mission. Pour peu que l’on soit quelqu’un de plutôt acharné, se retrouver au bout de deux ou trois heures de jeu à avoir fait une dizaine de fois la navette entre le QG et les bas-fonds de la ville avait le don de se montrer répétitif.

Mais il se trouve que le titre est maintenant potentiellement entre vos mains (puisque vous faites tout ce que je vous dis – allez me chercher une bière-grenadine sans alcool, tiens) ou en tout cas de nouveau sous vos yeux, malgré le fait que le jeu n’ait pas vraiment changé de sa version PC à sa version portable…

Mais alors quel est l’intérêt ? Pourquoi dépenser plus d’agent ? Grands dieux, pourquoi?! Parce que.

Shadowrun returns spell

Rien ne sert de se saigner, il faut partir à point

D’où l’intérêt de faire chauffer sa carte bleue.

À l’interrogation posée trois lignes plus haut (gaffe, il y a une image entre la première et la deuxième, c’est perturbant) je m’apprête à répondre : l’avantage de cette version Android par rapport à celle sur PC est justement que le jeu se trouve dans votre poche, et qu’un système de sauvegarde maintenant efficace et accessible à tout moment ait été mis en place pour vous permettre d’en décrocher et de vous y replonger quand bon vous semble. Ce qui permet de contourner aisément la redondance dont nous parlions plus tôt (arrêtez de remonter l’article, vous allez attraper un strabisme).

De plus, Shadowrun Returns possède un côté franchement linéaire. Ce qui pourrait être un défaut en temps normal mais qui n’en est pas un ici, puisque vous pouvez tromper cette linéarité en la pavant de pauses, sans pour autant perdre le fil de ce que vous étiez en train de faire. De même pour les combats qui, à force, pourraient se montrer longuets.

Shadowrun return place

Un coup d’œil sur l’interface, avant qu’il ne revienne

Et qu’il en prenne ombrage. Shadowrun returns, de base, n’était pas un jeu faisant dans la prouesse technique visuelle. Mais il avait pour lui de disposer d’environnements riches et garnis de quantité d’éléments qui rendaient la promenade plaisante. Et ô joie! il se trouve que presque rien n’a été changé entre les deux versions, si ce n’est  (tout de même) une baisse de la résolution. De fait, on en prend vraiment plein la vue. Voire même un peu trop : votre écran vous paraîtra peut-être un peu chargé par moments.

Mais on peut largement faire l’impasse là-dessus. En revanche, ce qui pourrait transformer Shadowrun Returns en cauchemar pour certains est son gameplay. Celui-ci est aussi simple que bon, je vous l’accorde. En revanche, il n’a pas été repensé pour son portage sur portables. Et – devinez quoi – il y a évidemment plus de place sur un écran d’ordinateur que sur la plupart des tablettes et portables. Si ce n’est pas le cas, cessez d’emprunter le “apprends en t’amusant” de votre petite sœur.

De fait, lorsqu’on joue au titre sur un téléphone, on se retrouve parfois à appuyer une dizaine de fois au même endroit avant de tomber sur la position de notre choix pour le déplacement des unités. Ou bien à cliquer sur le mauvais choix dans une conversation. Dans le genre :

  1. “Lâche ton arme, vieux. Il me reste assez de gâteaux aux graines de sésame pour deux.”
  2. “J’ai couché avec ta mère! Et j’ai mangé tous les gâteaux !”

Qu’on se le dise, c’est ennuyeux d’avoir un gros pouce dans ce type de situation. Mais aussi ridicule de jouer avec son index. Donc, pour vous faire une idée, autant ne pas choisir de jouer au titre si vous votre portable à un écran inférieur à 4.6 pouces.

Shadowrun returns combat

Pour en finir

Shadowrun Returns était déjà un très bon jeu sur PC. Et, à mon sens, il l’est d’autant plus sur plateformes portables. Le côté occasionnel dont il s’y pare, le plaisir de trouver un jeu aux graphismes tout à fait corrects après avoir passé un appel, pouvoir le laisser ou y retourner quand l’envie vous en prend… C’est un sans faute pour Shadowrun Returns, pour peu qu’on aime les T-RPG. MAIS…

Mais qui peut se transformer en véritable source de stress et d’énervement si votre portable ne tient pas la route, en terme de puissance et de taille d’écran et même de stockage. Car le jeu pèse son poids (1.2 GO, si je ne m’abuse), requiert une certaine puissance, sans quoi vous subirez des temps de chargement (encore plus) longs ainsi qu’une bonne quantité de ralentissements, et a besoin d’un écran de taille raisonnable (entendez par là grand).

Pour couper court à vos hésitation plutôt qu’à vos veines, dites-vous qu’un Xperia M2 est ce qui vous permettra de faire tourner Shadowrun Returns sans trop de soucis. Vous n’avez plus qu’à comparer les specs de votre machine avec ce dernier. Et non, je ne fais pas de la pub, c’est sentimental.

C’était long, mais ça valait le coup, pas vrai ? N’en faites pas trop non plus, je vais rougir. Faites en trop !

Trailer de Shadowrun Returns

 

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C’est l’heure du bilan : Edge of Eternity /2015/03/cest-lheure-du-bilan-edge-of-eternity/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-edge-of-eternity/#comments Mon, 23 Mar 2015 14:36:05 +0000 /?p=45668 Edge of Eternity est un JRPG qui vous mettra dans les bottes de Daryon, un jeune homme qui voit son monde être envahi par des aliens qui ont propagé un virus transformant les humains et les animaux en monstres de métal. Votre mission sera bien évidemment de trouver la source du mal qui détruit votre monde et de l’éradiquer pour sauver ce qui peut encore l’être. Fiche de jeu : Edge of Eternity Bilan de la campagne 4 045 bakers (environ 39,86$ par don en moyenne). 161 246$ ont été réunis (117 246$ de plus par rapport aux 44 000$ initialement demandés). 5 paliers de financement ont été atteints. Le premier palier (60 000$) donnera la possibilité au studio français de porter son jeu sur PS4 et Xbox One, le deuxième (75 000$) permettra de créer un élevage de Nekaroo, il s’agira d’une sorte de jeu dans le jeu lui-même avec des bâtiments à améliorer et des ressources à acquérir, le troisième palier (95 000$) vous donnera accès à un système d’artisanat, le quatrième (130 000$) ravira vos oreilles puisque Yasunori Mitsuda composera les musiques du jeu avec un orchestre, et le cinquième (160 000$) vous permettra de jouer deux nouveaux personnages avec leurs propres intrigues. Si vous avez loupé la campagne Kickstarter du projet, vous pouvez tout de même contribuer au développement de ce dernier, et le précommander par la même occasion, à cette adresse. Il faudra cependant être patient puisque Midgar Studio ne prévoit pas de sortir Edge of Eternity avec la fin de l’année 2016 sur PC, Mac, Linux, PS4 et Xbox One. Edge of Eternity – Trailer (Pre alpha)

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Edge of Eternity

Edge of Eternity est un JRPG qui vous mettra dans les bottes de Daryon, un jeune homme qui voit son monde être envahi par des aliens qui ont propagé un virus transformant les humains et les animaux en monstres de métal. Votre mission sera bien évidemment de trouver la source du mal qui détruit votre monde et de l’éradiquer pour sauver ce qui peut encore l’être.

Bilan de la campagne

  • 4 045 bakers (environ 39,86$ par don en moyenne).
  • 161 246$ ont été réunis (117 246$ de plus par rapport aux 44 000$ initialement demandés).
  • 5 paliers de financement ont été atteints.

Le premier palier (60 000$) donnera la possibilité au studio français de porter son jeu sur PS4 et Xbox One, le deuxième (75 000$) permettra de créer un élevage de Nekaroo, il s’agira d’une sorte de jeu dans le jeu lui-même avec des bâtiments à améliorer et des ressources à acquérir, le troisième palier (95 000$) vous donnera accès à un système d’artisanat, le quatrième (130 000$) ravira vos oreilles puisque Yasunori Mitsuda composera les musiques du jeu avec un orchestre, et le cinquième (160 000$) vous permettra de jouer deux nouveaux personnages avec leurs propres intrigues.

Si vous avez loupé la campagne Kickstarter du projet, vous pouvez tout de même contribuer au développement de ce dernier, et le précommander par la même occasion, à cette adresse. Il faudra cependant être patient puisque Midgar Studio ne prévoit pas de sortir Edge of Eternity avec la fin de l’année 2016 sur PC, Mac, Linux, PS4 et Xbox One.

Edge of Eternity – Trailer (Pre alpha)

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C’est dans la poche #4 : Badland /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/ /2015/03/cest-dans-la-poche-4-badland/#comments Tue, 17 Mar 2015 15:53:50 +0000 /?p=45584 “Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça). Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland ! Bon, aller… AU CHARBON ! Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu. Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme. Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque. Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser. C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande. En fin de compte Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi. Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer. Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme. Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas. Page Apple Store de Badland Page Google Play Store de Badland Le trailer de Badland  

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Badland banniere

“Badland badland ! Wadyou wanadou? Wadyou wanadou?” C’est en musique que commence votre lecture favorite de la semaine. Soit dit en passant, j’espère que vous saisissez tout de même la référence, bien que le film Bad Boys commence aujourd’hui à dater un peu. Ceci étant, si ça ne vous parle pas d’avantage que la 101e symphonie (qui n’existe pas) de Hegel (qui n’a rien à voir avec le monde la musique), rien ne vous empêche de vous intéresser à ce pourquoi vous m’accordez votre temps : découvrir un jeu pour occuper vos mimines désœuvrées de tant de temps morts, que se disputent vos heures de transport et autres joyeusetés (De cours?! Vous êtes un vilain garçon ou une vilaine fille. Et j’adore ça).

Sans plus tarder, recouvrez-vous de suie, abandonnez toute la valeur que vous accordez à votre vie et mettons-nous en route pour le monde aussi cruel que haut en couleur qu’est celui de Badland !

Badland vert

Badland, c’est le “beaucoup” : on rapetisse beaucoup…

Bon, aller… AU CHARBON !

Les protagonistes (at)tachants de Badland n’ont probablement pas été choisis au hasard, ces petites boules de suie faisant très fortement penser à celles du Voyage de Chihiro (film de Hayao Miyazaki), dans lequel on peut voir de petites créatures assez semblables se tuer à une tâche qui n’a la bonté de s’arrêter qu’une fois que leur chef l’a bien voulu.

Ici, vous prenez le contrôle d’une petite boule de suif, que vous dirigez grâce à votre pouce pour la mener au travers de niveaux tortueux au possible en voletant au travers des obstacles qui les pavent, composés de ronces, de scies circulaires et de presses hydrauliques dont le seul but est de vous écraser/ratatiner/découper/déchiqueter. Vaste programme.

Ces boules ont la possibilité de se multiplier, rapetisser, grossir, ralentir ou accélérer (tout cela en fonction de différents objets que vous rencontrez en chemin) pour vous permettre de vous faufiler dans les étroits passages qui vous mèneront à un grand tuyau, jusque auquel vous devrez parvenir en le moins de temps possible et avec un maximum de compagnons à votre suite. Et je ne vous apprend rien en vous disant que passer au travers d’un couloir à faucilles est plus facile seul qu’à plusieurs et qu’un plus grand nombre induit une potentiellement plus grande perte. Si vous en le saviez pas encore, c’est maintenant chose faite, vous n’aurez qu’à me faire un chèque.

Bad land boucherie

On meurt beaucoup, et à beaucoup…

Le charbon peut-être, mais sûrement pas la grise mine

Et pour cause : Badland se dote d’une esthétique enchanteresse, qui en viendrait presque à faire oublier qu’on est sur le point de souscrire à un rasage à la sauvage (ça plaît ou ça ne plaît pas, cela dit). Les tons pastel des lieux dans lesquels vous évoluez, baignés dans une lumière chatoyante dans laquelle dansent les ombres d’arbres ou d’éclats rocheux auront tôt fait de vous hypnotiser.

C’est d’ailleurs cette direction artistique qui fait la force de Badland. Elle suffit amplement, et à elle seule, à donner envie au joueur de pousser l’exploration d’un niveau, puis d’un autre, ne serait-ce que pour savoir à quoi peut bien ressembler le prochain lieu duquel vous allez devoir vous échapper. En bref, et bien qu’on passe son temps à mourir, on en redemande.

bad land multi

Ou bien on grossit BEAUCOUP !

En fin de compte

Badland est un jeu se justifiant tout d’abord par une identité visuelle forte. Certes, le titre est tout à fait agréable à jouer, en s’apparentant à un plateformer doté d’un aspect arcade en side-scrolling, dont le but est d’atteindre la fin d’un niveau. Tout ce qui fait un jeu de ce genre, me direz-vous. Mais, de toute évidence, Badland n’a pas tout misé sur son gameplay - la pression du pouce étant la seule action qui vous soit demandée pendant vos heures de jeu – mais se rattrape largement et en s’échappant du lot commun grâce à son visuel, qui vous plonge dans un monde unique et enchanteur. Et il faut bien le dire, le pari est largement réussi.

Cela dit, n’allez pas croire que son gameplay laisse pour autant à désirer, puisqu’il est tout ce qu’il y a de plus fluide, et offre tout de même un bon lot de fonctions à même de rendre votre épopée passionnante, et pas seulement en termes visuels. Pour un jeu où, comme dit plus tôt, vous ne vous servez que de votre pouce, l’expérience qu’offre Badland reste tout de même variée et distrayante comme peu d’autres peuvent prétendre le proposer.

Enfin, n’oublions pas – petit point sympathique comme tout – que Badland propose aux joueurs un mode multi, dans lequel chaque joueur se partage un bout d’écran en y collant son pouce pour traverser le niveau, tout en heurtant son front contre celui de ses petits camarades, à grands renforts de “Mais pousse-toi, j’vois rien !” ou de “Mais ils sont énormes, tes doigts!” voire même “c’est pas permis des mains aussi moites!” (lynchez celui-là, c’est le plus méchant). De la joie et de la convivialité, en somme.

Pour finir, j’avoue avoir du mal à trouver une seule bonne raison de ne pas jouer à la pépite portable qu’est Badland. Beau, agréable à jouer, addictif et pourtant loin d’être décérébré, il n’attend que vous. Alors pourquoi s’en priver ? Vous voyez, vous ne savez pas.

Le trailer de Badland

 

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C’est l’heure du bilan : Orion Trail /2015/03/cest-lheure-du-bilan-orion-trail/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-orion-trail/#comments Sun, 15 Mar 2015 10:00:27 +0000 /?p=45516 Orion Trail est un jeu de rôle qui vous mettra dans les bottes d’un capitaine de la Galaxy Force dont la mission est d’arpenter la mystérieuse et dangereuse galaxie, Orion Trail. Pour vous aider, vous devrez recruter des membres d’équipage et les entraîner pour améliorer leurs statistiques, accomplir des missions, et prendre des décisions qui influenceront le court de la partie. Fiche de jeu : Orion Trail Bilan de la campagne 4 062 bakers (environ 24,08$ par don en moyenne). 97 801$ ont été réunis (7 801$ de plus par rapport aux 90 000$ initialement demandés). 1 palier de financement a été atteint. Grâce au franchissement du palier fixé à 95 000$, les joueurs auront la possibilité de choisir des Urzans lors du recrutement de leurs troupes. Les développeurs espèrent sortir leur titre via le programme d’Accès anticipé de Steam en août sur PC, Mac et Linux. Pas d’informations en revanche sur une potentielle date pour la version finale. Orion Trail – Trailer

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Orion Trail

Orion Trail est un jeu de rôle qui vous mettra dans les bottes d’un capitaine de la Galaxy Force dont la mission est d’arpenter la mystérieuse et dangereuse galaxie, Orion Trail. Pour vous aider, vous devrez recruter des membres d’équipage et les entraîner pour améliorer leurs statistiques, accomplir des missions, et prendre des décisions qui influenceront le court de la partie.

Bilan de la campagne

  • 4 062 bakers (environ 24,08$ par don en moyenne).
  • 97 801$ ont été réunis (7 801$ de plus par rapport aux 90 000$ initialement demandés).
  • 1 palier de financement a été atteint.

Grâce au franchissement du palier fixé à 95 000$, les joueurs auront la possibilité de choisir des Urzans lors du recrutement de leurs troupes.

Les développeurs espèrent sortir leur titre via le programme d’Accès anticipé de Steam en août sur PC, Mac et Linux. Pas d’informations en revanche sur une potentielle date pour la version finale.

Orion Trail – Trailer

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C’est gratuit : Mudlarks, A Date in the Park, DUEL42 /2015/03/cest-gratuit-mudlarks-date-in-the-park-duel42/ /2015/03/cest-gratuit-mudlarks-date-in-the-park-duel42/#comments Fri, 13 Mar 2015 15:00:26 +0000 /?p=45481 Mudlarks Mudlarks, de Cloak & Dagger Games, est un point & click qui vous mettra dans la peau de Winston, un mudlarker enquêtant sur la disparition soudaine de son ami Vincent, après que ce dernier ait découvert un vieux pendentif avec la photo de deux femmes à l’intérieur. Préparez-vous pour quelques heures d’investigations et de creusage de tête, vous aurez de quoi faire avant d’avoir le fin mot de cette histoire. Télécharger Mudlarks A Date in the Park A Date in the Park, de Cloak & Dagger Games, est une nouvelle fois un point & click dans lequel vous incarnerez cette fois-ci, Lou, un jeune homme venant tout juste de déménager à Lisbonne. Dans la foulée, il va se laisser charmer par une mystérieuse femme qu’il devra revoir dans son parc préféré. Contrairement à son prédécesseurs, A Date in the Park ne vous occupera qu’une trentaine de minutes mais saura tout de même vous immerger dans une étrange atmosphère. Télécharger A Date in the Park DUEL42 DUEL42, de Jonas Hansen, est un petit jeu auquel il est préférable de jouer à deux, dans lequel vous et votre adversaire vous affronterez dans un duel à mort. Votre but sera d’appuyer sur les touches qui s’affichent à l’écran, et d’empêcher votre opposant d’en faire de même afin d’être le premier à tirer. Enlevez les objets fragiles des alentours, assurez-vous d’avoir un clavier de rechange, et battez-vous pour votre honneur ! Jouer à / Télécharger DUEL42 : Navigateur – PC, Mac, Linux

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Mudlarks cg

Mudlarks

Mudlarks, de Cloak & Dagger Games, est un point & click qui vous mettra dans la peau de Winston, un mudlarker enquêtant sur la disparition soudaine de son ami Vincent, après que ce dernier ait découvert un vieux pendentif avec la photo de deux femmes à l’intérieur.

Préparez-vous pour quelques heures d’investigations et de creusage de tête, vous aurez de quoi faire avant d’avoir le fin mot de cette histoire.

A Date in the Park cg

A Date in the Park

A Date in the Park, de Cloak & Dagger Games, est une nouvelle fois un point & click dans lequel vous incarnerez cette fois-ci, Lou, un jeune homme venant tout juste de déménager à Lisbonne. Dans la foulée, il va se laisser charmer par une mystérieuse femme qu’il devra revoir dans son parc préféré.

Contrairement à son prédécesseurs, A Date in the Park ne vous occupera qu’une trentaine de minutes mais saura tout de même vous immerger dans une étrange atmosphère.

DUEL42 cg

DUEL42

DUEL42, de Jonas Hansen, est un petit jeu auquel il est préférable de jouer à deux, dans lequel vous et votre adversaire vous affronterez dans un duel à mort. Votre but sera d’appuyer sur les touches qui s’affichent à l’écran, et d’empêcher votre opposant d’en faire de même afin d’être le premier à tirer.

Enlevez les objets fragiles des alentours, assurez-vous d’avoir un clavier de rechange, et battez-vous pour votre honneur !

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C’est l’heure du bilan : Strength Of The Sword ULTIMATE /2015/03/cest-lheure-du-bilan-strength-of-the-sword-ultimate/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-strength-of-the-sword-ultimate/#comments Thu, 12 Mar 2015 12:00:53 +0000 /?p=45474 Strength Of The Sword ULTIMATE est un jeu d’action dans lequel vous aurez à affronter des boss et des hordes d’ennemis dans des arènes aux environnements différents, en utilisant diverses armes et armures, et vos combos pour maximiser vos dégâts. Tous ces morts serviront à protéger un royaume contre un mal qui tente de se réveiller. Fiche de jeu : Strength Of The Sword ULTIMATE Bilan de la campagne 3 467 bakers (environ 24,41$ par don en moyenne). 88 093$ ont été réunis (74 093$ de plus par rapport aux 14 000$ initialement demandés). 2 paliers de financement ont été atteints. Le premier palier, “More Swords and Stuff”, a été franchi une fois les 25 000$ atteints et permettra aux joueurs de disposer de plus d’armes et d’équipements, ainsi que de prendre part à des tournois PvP toutes les semaines pour débloquer des équipements spéciaux. Le second palier, “Dark Gods”, a quant à lui été franchi lorsque 50 000$ ont été réunis et proposera des histoires additionnelles où vous devrez traquer des “Dark Gods”. Fort de ce succès, Strength Of The Sword ULTIMATE est actuellement prévu sur PC, Mac, Linux, PS4, PS Vita, Xbox One et Wii U pour la fin de l’année. Strength Of The Sword ULTIMATE – Vidéo Kickstarter

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Strenght of the Sword Slash

Strength Of The Sword ULTIMATE est un jeu d’action dans lequel vous aurez à affronter des boss et des hordes d’ennemis dans des arènes aux environnements différents, en utilisant diverses armes et armures, et vos combos pour maximiser vos dégâts. Tous ces morts serviront à protéger un royaume contre un mal qui tente de se réveiller.

Bilan de la campagne

  • 3 467 bakers (environ 24,41$ par don en moyenne).
  • 88 093$ ont été réunis (74 093$ de plus par rapport aux 14 000$ initialement demandés).
  • 2 paliers de financement ont été atteints.

Le premier palier, “More Swords and Stuff”, a été franchi une fois les 25 000$ atteints et permettra aux joueurs de disposer de plus d’armes et d’équipements, ainsi que de prendre part à des tournois PvP toutes les semaines pour débloquer des équipements spéciaux. Le second palier, “Dark Gods”, a quant à lui été franchi lorsque 50 000$ ont été réunis et proposera des histoires additionnelles où vous devrez traquer des “Dark Gods”.

Fort de ce succès, Strength Of The Sword ULTIMATE est actuellement prévu sur PC, Mac, Linux, PS4, PS Vita, Xbox One et Wii U pour la fin de l’année.

Strength Of The Sword ULTIMATE – Vidéo Kickstarter

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C’est l’heure du bilan : Windwalkers /2015/03/cest-lheure-du-bilan-windwalkers/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-windwalkers/#comments Sat, 07 Mar 2015 15:01:44 +0000 /?p=45403 Basé sur le livre, La horde du contrevent, écrit par Alain Damasio, Windwalkers veut nous plonger dans un monde où le vent souffle sans cesse, et plus précisément à la tête d’une Horde composée de plusieurs membres d’élite dont la mission sera de se rendre à l’Extrême-Amont pour justement faire taire ces vents. Il faudra pour cela s’affranchir des nombreux obstacles sur votre route, qu’il s’agisse des différents vents ou bien d’ennemis féroces. Fiche de jeu : Windwalkers Bilan de la campagne 1 316 bakers (environ 100,79$ par don en moyenne). 132 648$ ont été réunis (200 352$ de moins par rapport aux 333 000$ initialement demandés). Aucun palier de financement a été atteint. Malgré cet échec, Forge Animation va continuer de travailler sur son projet et il n’est pas exclu de revoir Windwalkers sur Kickstarter dans l’avenir. Quoiqu’il en soit, le jeu reste prévu sur PC, Mac, PS4 et Xbox One. Windwalkers – Vidéo Kickstarter

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Windwalkers2

Basé sur le livre, La horde du contrevent, écrit par Alain Damasio, Windwalkers veut nous plonger dans un monde où le vent souffle sans cesse, et plus précisément à la tête d’une Horde composée de plusieurs membres d’élite dont la mission sera de se rendre à l’Extrême-Amont pour justement faire taire ces vents. Il faudra pour cela s’affranchir des nombreux obstacles sur votre route, qu’il s’agisse des différents vents ou bien d’ennemis féroces.

Bilan de la campagne

  • 1 316 bakers (environ 100,79$ par don en moyenne).
  • 132 648$ ont été réunis (200 352$ de moins par rapport aux 333 000$ initialement demandés).
  • Aucun palier de financement a été atteint.

Malgré cet échec, Forge Animation va continuer de travailler sur son projet et il n’est pas exclu de revoir Windwalkers sur Kickstarter dans l’avenir. Quoiqu’il en soit, le jeu reste prévu sur PC, Mac, PS4 et Xbox One.

Windwalkers – Vidéo Kickstarter

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C’est l’heure du bilan : Neptune, Have Mercy /2015/03/cest-lheure-du-bilan-neptune-have-mercy/ /2015/03/cest-lheure-du-bilan-neptune-have-mercy/#comments Fri, 06 Mar 2015 13:00:58 +0000 /?p=45377 Neptune, Have Mercy est un rogue-like qui vous place à l’intérieur d’un sous-marin avec pour mission d’explorer les profondeurs à la recherche de trésors. Vous devrez donc descendre de plus en plus profond en éclairant votre passage du mieux possible afin d’éviter les nombreuses créatures qui vivent et se cachent dans les sombres recoins, même si vous vous ferez sans doute surprendre plus d’une fois. Fiche de jeu : Neptune, Have Mercy Bilan de la campagne 377 bakers (environ 33,60$ par don en moyenne). 12 668 $ ont été réunis (7 332$ de moins par rapport aux 20 000$ initialement demandés). Aucun palier de financement a été atteint. Malgré cet échec, les développeurs ne se laissent pas abattre et comptent chercher d’autres sources de financement afin que Neptune, Have Mercy voit le jour comme prévu sur PC, Mac et Linux. Neptune, Have Mercy – Trailer

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Neptune, Have Mercy

Neptune, Have Mercy est un rogue-like qui vous place à l’intérieur d’un sous-marin avec pour mission d’explorer les profondeurs à la recherche de trésors. Vous devrez donc descendre de plus en plus profond en éclairant votre passage du mieux possible afin d’éviter les nombreuses créatures qui vivent et se cachent dans les sombres recoins, même si vous vous ferez sans doute surprendre plus d’une fois.

Bilan de la campagne

  • 377 bakers (environ 33,60$ par don en moyenne).
  • 12 668 $ ont été réunis (7 332$ de moins par rapport aux 20 000$ initialement demandés).
  • Aucun palier de financement a été atteint.

Malgré cet échec, les développeurs ne se laissent pas abattre et comptent chercher d’autres sources de financement afin que Neptune, Have Mercy voit le jour comme prévu sur PC, Mac et Linux.

Neptune, Have Mercy – Trailer

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C’est gratuit : Planet of a Poisoned Past, Antiheos, Forever /2015/03/cest-gratuit-planet-of-poisoned-past-antiheos-forever/ /2015/03/cest-gratuit-planet-of-poisoned-past-antiheos-forever/#comments Thu, 05 Mar 2015 15:00:35 +0000 /?p=45209 Planet of a Poisoned Past Planet of a Poisoned Past, de Sophie Houlden, est un jeu d’aventure se déroulant en 2003, qui vous mettra la peau de Maria, une jeune femme chargée de la maintenance informatique d’une station de minage d’Ultra Steelium, un métal très rare mais également très dangereux pour la santé. Votre objectif sera de réparer un ordinateur défectueux, mais plus les jours passent, plus des choses étranges se produisent… Si vous aimez les jeux d’aventure, vous aurez de quoi faire avec ce Planet of a Poisoned Past et il vous faudra pas mal de temps pour en voir le bout si vous cherchez à connaitre l’histoire de tout l’équipage. Jouer à Planet of a Poisoned Past Antiheos Antiheos, de Hyperbolic Magnetism, est un action-platformer qui vous mettra au défi de survivre le plus longtemps possible dans un donjon rempli de monstres et de récolter des cartes qui vous octroieront deux effets, un positif et un négatif, tout en sachant que si vous vous faites toucher trop de fois, vous mourrez, et si vous n’avez plus de cartes, vous mourrez également. Un jeu assez fun et original qui saura vous retenir quelques minutes, ou plus si vous êtes un accro du scoring. Jouer à Antiheos Forever Forever, de Pol Clarissou, Flex Roman et Loïc Perillier, est un petit jeu dans lequel vous incarnerez le/la caissier(e) d’un supermarché, et devrez faire biper les objets qui se présentent à vous, ainsi qu’encaisser l’argent des clients. Ou vous pourrez tout envoyer valdinguer. Voilà une nouvelle expérience singulière qui vous fera penser à votre premier emploi, ou à votre emploi actuel. L’ennui, la “chiantise”, la monotonie, les sourires forcés, l’impression que tout le monde s’en fout et qu’une journée dure une vie… Jouer à Forever

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Planet of a Poisoned Past cg

Planet of a Poisoned Past

Planet of a Poisoned Past, de Sophie Houlden, est un jeu d’aventure se déroulant en 2003, qui vous mettra la peau de Maria, une jeune femme chargée de la maintenance informatique d’une station de minage d’Ultra Steelium, un métal très rare mais également très dangereux pour la santé. Votre objectif sera de réparer un ordinateur défectueux, mais plus les jours passent, plus des choses étranges se produisent…

Si vous aimez les jeux d’aventure, vous aurez de quoi faire avec ce Planet of a Poisoned Past et il vous faudra pas mal de temps pour en voir le bout si vous cherchez à connaitre l’histoire de tout l’équipage.

Antiheos cg

Antiheos

Antiheos, de Hyperbolic Magnetism, est un action-platformer qui vous mettra au défi de survivre le plus longtemps possible dans un donjon rempli de monstres et de récolter des cartes qui vous octroieront deux effets, un positif et un négatif, tout en sachant que si vous vous faites toucher trop de fois, vous mourrez, et si vous n’avez plus de cartes, vous mourrez également.

Un jeu assez fun et original qui saura vous retenir quelques minutes, ou plus si vous êtes un accro du scoring.

Forever cg

Forever

Forever, de Pol Clarissou, Flex Roman et Loïc Perillier, est un petit jeu dans lequel vous incarnerez le/la caissier(e) d’un supermarché, et devrez faire biper les objets qui se présentent à vous, ainsi qu’encaisser l’argent des clients. Ou vous pourrez tout envoyer valdinguer.

Voilà une nouvelle expérience singulière qui vous fera penser à votre premier emploi, ou à votre emploi actuel. L’ennui, la “chiantise”, la monotonie, les sourires forcés, l’impression que tout le monde s’en fout et qu’une journée dure une vie…

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