En ces temps où le sempiternel refrain “C’était mieux avant” refait des siennes, les Nîmois de Midgar Studio nous proposent via Kickstarter Edge of Eternity, un J-RPG très inspiré de la plus grande époque du genre.

L’aventure prendra place au cœur du monde d’Heryon, formé des trois royaumes de Junor, Astrya et Dehostra. L’équilibre de l’univers y est maintenu par des cristaux magiques permettant aux trois peuples d’accéder aux mêmes pouvoirs et par conséquent de vivre en parfaite harmonie. Mais nous voilà face à un J-RPG, et cette harmonie devra donc d’une manière ou d’une autre être bouleversée. La paix c’est bien beau, mais ça n’a qu’un temps. De mystérieux envahisseurs attaquent alors le royaume de Junor afin de récupérer ces fameux cristaux, donnant ainsi lieu à une bataille sans nom. Le général en chef des armées de Dehostra crée alors le Consortium, rassemblant des soldats de tous royaumes et défendant Heryon. Repoussés puis acculés dans leurs vaisseaux, les énigmatiques ennemis d’Heryon lâchent un virus appelé Metal Sickness qui transforme peu à peu les individus contaminés en hybrides homme-machine. En proie à une douleur immense due à cette transformation progressive, les malades perdent la raison et se retrouvent à errer dans les vastes plaines des différents royaumes.

Le jeu nous propulsera 30 ans suite à ces événements dans la peau de Daryon, jeune élève de l’académie royale d’Astrya, au moment de sa rencontre avec Selen, nomade du clan des survivants de Junor. Si au départ leur aventure devait se réduire à fuir le Consortium qui les traque tous deux pour usage illégal de la technologie, Daryon et Selen devraient bien entendu être emportés dans un plus vaste périple. Bien que se revendiquant être un hommage aux classiques du genre, Midgar Studio nous promet quelques spécificités telles qu’une aventure non linéaire laissant la part belle à l‘exploration dans un monde ouvert, un système très modulable d‘améliorations des armes ainsi qu’une véritable influence sur le monde via les choix et les quêtes que nous effectuons. Un système de crafting pourrait également être de la partie si le palier de 95 000$ est franchi.

Entre le Consortium qui nous poursuivra, les mystérieux envahisseurs et les infectés, Edge of Eternity ne devrait pas manquer de séquences de combat. Dans la plus pure tradition des J-RPG à l’ancienne, on aura ici le choix entre un système au tour par tour et un système d’ATB pour les moins nostalgiques. De puissants sorts et invocations seront évidemment au rendez-vous, genre oblige. Le monde étant soumis à un système météo dynamique ainsi qu’à un cycle jour/nuit, les conditions météos seront à prendre en compte lors des combats, distribuant bonus et malus selon le type d’adversaire.

Ce n’est un secret pour personne, un J-RPG n’en est pas un sans une bande son magistrale. Midgar Studio le sait bien  et rêve à demi mot de pouvoir recruter Yasunori Mitsuda, célèbre compositeur de Chrono Trigger, Xenogears ou Chrono Cross pour ne citer qu’eux. Mitsuda est d’ores et déjà très emballé par le projet et souhaiterait y participer, à condition ceci dit que la modique somme de 130 000$ soit atteinte pour le projet… En revanche le studio peut déjà compter sur Yan Shu, concept artist ayant déjà travaillé sur League of Legends ou encore Kingdoms of Camelot.

Le projet est soumis sur Kickstarter jusqu’au 22 mars et souhaite atteindre la somme de 44 000$. Le jeu est prévu pour décembre 2016 sur PC, Mac et Linux, à moins d’atteindre le palier de 60 000 $ qui verrait la sortie du jeu sur PS4 et Xbox One. Pour patienter aussi longtemps, une démo est actuellement disponible pour PC, Mac et Linux sur la page Kickstarter du jeu.

• Campagne Kickstarter 

Edge of Eternity – Kickstarter video

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Le jeu de survie The Forest accueille une nouvelle mise à jour, la version 0.13. Au menu la possibilité de démembrer les ennemis, une optimisation du multijoueur ainsi que de nouveaux objets à créer tels qu’un portant pour les armes, un placard pour les provisions ou encore des supports pour bombes et médicaments qui serviront à stocker ou à échanger ces objets.

En plus de ces nouvelles fonctions, les grottes ont été fortement enrichies et un effort a été fait sur la création de bâtiments qui devrait désormais nous permettre de construire tout types de structures.

Côté technique la physique du jeu se voit retravaillée de même que certaines textures et la bande du jeu se retrouve enrichie. Pour davantage de détails concernant toutes les optimisations, c’est ici que ça se passe.

• Fiche de jeu : The Forest    

Trailer – The Forest

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Le kickstarter réalisé par Harebrained Schemes a réussi. Ce kickstarter était dédié à leur troisième itération à la célèbre série de jeu de rôle papier Shadowrun. Loin d’un Berlin anarchique vu dans Shadowrun Dragonfall et d’une Seattle cyberpunkisé de Shadowrun Returns, Hong-Kong nous amène, vous l’aurez deviné, dans la célèbre ville chinoise qui a toujours été source de fascination dans l’univers cyberpunk. Utilisant toujours le même moteur, Hong Kong continue à être un jeu de rôle tour par tour en vue isométrique nous permettant d’un incarner un « runner » dans un monde où technologie et magie coexistent. Que vous soyez un humain, elfe, nain ou encore troll, plus de douze heures de jeu vous attendront.

• Fiche de jeu : Shadowrun : Hong Kong

Bilan de la campagne

• 31 497 bakers (environ 38,25$ par don en moyenne).
• 1 204 726$ ont été réunis (1 104 726$ supplémentaires par rapport aux 100 000$ initialement demandés).
• 13 paliers de financement qui ont été atteints durant cette campagne.

Point quelque peu critiqué par la communauté, les paliers disponibles un peu faibles. Hormis le personnage de Racter (200 000$) et de Gaichu (400 000$) qui ajoutent du contenu conséquent, la majorité des ajouts consistent en des petites améliorations comme un son de meilleure qualité (350 000 $), une refonte de la Matrix (700 000$) et des cinématiques (150 000$ et 250 000$). S’il y a tout de même des paliers pour du contenu et des missions annexes, il a également été critiqué que le système de jeu ne subisse pas une amélioration complète du gameplay au bout de la troisième itération. Évidemment, si vous, tout ce que vous voulez, c’est rejouer à un Shadowrun de la qualité de Dragonfall, c’est ce qu’il vous faut. Le dépassement du palier à un million de dollar promet toutefois une nouvelle campagne de 3-4 heures qui permet de prolonger l’aventure après la trame principale.

Le jeu sera en stand-alone (tout comme Shadowrun Dragonfall Director’s Cut) et est prévu pour mi-2015 sur toutes les plateformes habituelles, Windows, Mac et Linux et sera fourni via Steam, Humble Store et GOG. Contrairement aux deux jeux précédents toutefois, le jeu ne sera pas disponible sur iOS et Android.

• Lien Kickstarter
• Site officiel

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Baptisée “Afterbirth”, le prochaine extension téléchargeable pour The Binding of Isaac : Rebirth se dévoile, et nous en apprend donc un peu plus sur son contenu.

Au programme :

•   + de 100 nouveaux items
• un nouveau mode de jeu
• 10 nouveaux challenges
• un nouveau personnage jouable
• de nouveaux boss et ennemis
• et plus encore…

Voici le lien pour consulter la liste quasi-exhaustive des nouveautés sur le blog officiel du jeu.

Selon les dires du développeur, le contenu serait dantesque et “pourra facilement étendre la durée de vie à quelques 100-200 heures de plus“. Voila de belles promesses en tout cas.

Le-dit contenu devrait être disponible à la mi-2015 si tout vas bien. Encore un peu de patience donc.

Edmund nous apprend également que Florian (à l’origine le programmeur du premier Isaac) travaille sur une nouvelle extension gratuite pour le premier Isaac ! Pas de date pour le moment mais il faudra posséder l’extension Wrath of the Lamb pour pouvoir y jouer.

The Binding of Isaac – Update Reveal (pour le premier Isaac)

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Il y a bien longtemps (un an et trois mois, pour être exact) que je n’avais pas été vraiment emballé par un projet KickStarter, au point de me demander si je n’allais pas aider au financement de ce dernier. À tel point que j’en étais venu à me demander, comme le boiteux voit les rides gagner le visage de sa douce devenue rêche (et vice versa), si l’ennui ne m’avait pas gagné et la libido quitté (vidéoludiquement parlant seulement, je suis encore jeune et fringant – et beau).

Mais, tel la pilule bleu dont votre boîte de courrier indésirable est remplie, un projet est venu réveiller la passion jusque là enfouie en moi – tout de même pas trop profondément. On ne le répète que trop souvent mais, tant qu’on est dans le sujet, n’oublions pas de sortir toujours couverts : alors enfilez donc un casque, votre armure capitonnée, saisissez votre épée qui coupe bien et qui fait tching! et en avant pour découvrir STRENGHT OF THE SWORD ULTIMATE (motherf**ker!).

 T’as vu comme elle brille, mon armure ?

En voyant les screenshots de Strenght of the Sword ULTIMATE, on ne peut s’empêcher d’être charmé par la direction artistique dont le jeu se pare, d’autant plus par rapport à ce à quoi on est habitués pour un jeu d’épée et de chevaliers sur KickStarter, à savoir quelque chose de franchement plus réaliste (ou minimaliste).

Ici, on se retrouve face à un visuel propre, mais qui laisse une belle part à l’originalité, mêlant 3D et Cell Shading, pour un rendu à la frontière d’un Darksiders et d’un zelda : the wind waker. Et, bien que peu de lieux nous soient pour l’instant dévoilées, on peut dire autant de bien du design des personnages et monstres comme de celui des arènes. En bref : ça envoie du lourd (même du lourd “ultimate plus fort que toi à grands renforts de muscles et d’acier”).

Ton casque, ton épée… T’es prêt, gros.

Prêt à vous lancer dans la mêlée de Strenght of the Sword ULTIMATE. Le titre souhaite jouer sur deux aspects : celui du combat, en un contre un, et celui du brawler (Beat’em all). En vue de dos à la troisième personne, une série de combos et coups spéciaux sont à votre disposition pour défaire votre adversaire ou des hordes de monstres qui en veulent à votre épée-sucette dessinée par la princesse Janna Lad’dan (under exclusive license to ©Badass & sexy Women).

En parlant d’épées et pour ne pas parler que de votre cache-sexe en titane, il est bon de savoir que la majeure partie de la personnalisation de votre héros résidera dans celle de votre épée : vous pouvez choisir parmi une multitude de modèles, auquel vous pourrez ajouter un lance-roquette, ainsi qu’un lance-flamme. Si vous vouliez de la sobriété et de la juste mesure, passez votre tour : ici, on ne gagne pas un combat, on explose des gueules.

Une fois prêt, il ne vous reste plus qu’à vous lancer dans l’arène, que ce soit en solo ou en multi en 1 contre 1, contre des hordes de monstres ou encore de gigantesques boss qui font moins les malins devant votre énorme bazooka. Y a pas à dire : on est bien dans le temple de la virilité.

À noter qu’un Story mode devrait être proposé.

De l’importance d’une bonne com’

En vérité, au moins autant que les atouts cités plus hauts, ce qui vous fait accrocher au projet de Ivent Gaming, c’est la manière dont les développeurs présentent Strenght of the Sword ULTIMATE. Il est vrai que le contenu prime, mais l’emballage a tout de même son importance. Et, pour le coup, il est rare de voir une campagne KickStarter aussi bien présentée.

Le programme et les spécificités du titre nous sont expliquées au travers de petites bandes-dessinées dans lesquelles les deux créateurs apparaissent, le tout teinté d’humour et de ce qu’on pourrait aisément de fraîcheur (oui, ça tranche avec le reste). Sans avoir à sauter les lignes, on prend plaisir à découvrir en détails ce que proposera le jeu et, sans même s’en rendre compte, on se prend d’affection pour ces deux développeurs dessinés à gros traits, qui s’agitent dans tous les sens pour nous faire partager leur enthousiasme. Et on le partage. Et on veut avoir une épée mega-trop-stylée avec plein d’ajouts inutiles qui font classe.

La (ULTIMATE) conclusion

Strenght of the Sword ULTIMATE a tout l’air d’être un projet prometteur ; même vu dans sa phase de développement précoce, il en impose déjà. Évidemment, on ne vas pas se cacher que, concernant le gameplay, on reste pour l’instant sur du très classique : de la baston, une vue de dos à la 3e personne, etc ; les bases d’un brawler, en somme. Mais il ne s’agit que de ce qu’on peut pour l’instant voir et, quand bien même le jeu se passerait d’innovation majeure en la matière, ça n’en reste pas moins efficace.

Mais le visuel du jeu est vraiment tentant, propre et bien réalisé, et donne envie de se lancer dans une arène, d’en explorer les recoins avant de joyeusement se jeter sur ses adversaires (en espérant que le décor sera destructible, pour pouvoir TOUT CASSER). Et enfin, pour ne rien gâcher, la présentation qu’en ont fait les développeurs est un vrai régal, qui nous permet de savoir vite ce que le duo veut, comment et pourquoi (pas d’chichis, on a dit).

Un jeu à suivre de près, donc. Et qu’on a vraiment hâte de voir débarquer sur nos écrans !

Strenght of the sword ULTIMATE est en campagne Kickstarter jusqu’au 14 mars 2015. Son budget initial est de 14 000 $ ; il en a pour l’instant récolté 16 622$ .

• Page Kickstarter de Strenght of the Sword ULTIMATE (ne vous inquiétez pas de votre anglais, ça se lit tout seul)

Trailer de Strenght of the Sword ULTIMATE

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Un peu moins de 6 mois après son arrivé en accès anticipé sur Steam, The Escapists, le jeu qui vous propose de vivre la vie d’un prisonnier et de vous échapper de plusieurs prisons, passe aujourd’hui en version finale. Vous aurez ainsi l’occasion de vous procurer le titre développé par Mouldy Toof Studios et édité par Team 17 pour la somme de 14,99€ pendant la première semaine, sur PC et Xbox One. Ce dernier passera ensuite à 19,99€.

The Escapists – Trailer

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Plus d’un an a passé depuis la première (et seule) fois où nous vous avions parlé de Dex, pour le présenter en long et en large (ne faites pas celui qui sait de quoi on parle, venez cliquer ici.)

Le temps file, non sans accrocs…

Et, pour être honnête, on pensait en reparler pour vous communiquer sa sortie définitive. Mais, si vous êtes coutumier des projets Kickstarter, vous n’êtes pas sans savoir qu’ils aiment prendre leur temps. À la base prévue pour le printemps 2014, l’alpha n’est finalement parue que durant l’été de la même année, n’offrant sur le moment qu‘un avant-goût de l’expérience que devait procurer le jeu : majoritairement, il était possible de se promener dans la ville, se castagner de temps en temps et avoir quelques discussions avec des PNJ. En revanche, pour ce qui est d’une date pour une update majeure qui donnerait accès à un contenu proche du jeu fini, on restait sur notre faim.

Tu vois c’que j’vois ?

Mais voilà le bout du tricot !

Heureusement, il y a peu, le studio dreadlocks a publié une annonce quant à la date de sortie d’une beta quasi-complète et SURTOUT – le plus important -concernant l’ajout de quatre filles à l’équipe de développement.

…

Non, il y a bien 4 jeunes filles chargées du développement, de l’animation 2D, du design 2D ainsi que des cutscenes (respectivement) et on leur souhaite bien évidemment tout le bonheur du monde, mais ce n’est pas ce qui nous intéresse le plus (bien que leur contribution soit ce qui permet au projet d’accélérer considérablement son développement).

Mais plus important encore que l’ajout de la gente féminine, nous avons maintenant une date de sortie pour Dex ainsi qu’un aperçu de son avancée, que nous allons résumer immédiatement :

• Introduction de cinématiques dans le jeu
• Les dialogues du scénario son maintenant tous écrits et seront dans la version de Dex qui nous arrive incessament sous peu (ça n’en a pas l’air mais c’est très important)
• Les fonctionnalités de Hacking/ réalité augmentée/cyberspace sont dans une phase de développement avancée
• Les dernières animations sont en ce moment-même en train d’être polies comme jamais (outch, mes yeux)
• Les portraits et Sprites de chaque NPC prévus dans le jeu seront dans Dex pour la beta.
• Quantités de sorts, d’habilités et autres joyeusetés.

Et, enfin, Dreadlocks annonce la sortie de sa “beta quasi-parfaite” pour la fin de février ou le début de mars. Celle-ci sera normalement proche du jeu dans sa version final et ne sera plus sujette qu’à quelques changement mineurs (en tout cas pas trop majeurs).

“Il était temps” diront certains mais, au vu de ce que promet le studio de développement, on ne leur en voudra pas trop d’en prendre un peu plus que prévu, pour peu que l’expérience finale soit à la hauteur de ce qui a été annoncé. Plus de nouvelles dans quelques semaines donc, on a hâte !

(Et non, pour trouver la photo des nouvelles recrues du studio, débrouillez-vous !)

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S’il y a bien un jeu qui fait polémique depuis son annonce au mois d’octobre de l’année dernière, c’est bien Hatred, le shooter ultra violent de Destructive Creations, qui nous propose de vivre la furie meurtrière d’un personnage souhaitant purger le monde de tous les humains. Le jeu a même tellement choqué certaines personnes qu’il avait été temporairement retiré de Greenlight par Valve avant d’y être remis peu de temps après et d’obtenir le feu vert de la communauté. Il a choqué au point même que l’ESRB, l’équivalent de notre PEGI en Amérique, a attribué la classification Adults Only (AO) au jeu, le rendant très compliqué à commercialiser puisque beaucoup de magasins ne souhaitent pas disposer de ce genre de contenu. Par exemple, Sony, Microsoft et Nintendo refusent catégoriquement tous les jeux ayant reçu cette notation.

Une chose est cependant à souligner. Si l’ESRB semble avoir tranché au sujet du classement du jeu dans la catégorie AO, il n’existe pas de telle catégorie avec PEGI, qui ne monte que jusqu’au PEGI 18. Dirk Bosmans, chargé de communication chez PEGI, s’est même permis de dire dans une interview accordé à PCGamesN qu’aucune classification ne serait attribuée à un jeu en se basant sur un trailer, et qu’il fallait attendre d’avoir le jeu entre les mains pour juger. Il rajoute que même si le jeu est effectivement aussi violent que le trailer le montre, ce n’est pas à l’organisme de l’empêcher de paraître, mais à chaque pays d’imposer ses conditions, comme l’organisme de notation au Royaume-Uni l’avait pour Manhunt 2 en obligeant Rockstar à flouter certains contenus s’ils voulaient que leur jeu puisse être vendu dans le pays.

Après tous ces événements, et même si le jeu a été Greenlité, on pouvait se demander si Valve allait accepter de faire paraître Hatred sur sa plateforme ou si les développeurs allaient devoir se contenter de vendre leur titre sur leur seul site. La réponse semble aujourd’hui assez claire puisque le titre a sa propre page dans le magasin Steam. Si cela se confirme et que Valve ne fait pas marche arrière, Hatred sera le premier jeu ayant été gratifié d’un Adults Only à sortir sur Steam.

Actuellement prévu pour le milieu de l’année sur PC, Hatred aura sans doute le temps de refaire parler de lui d’ici là, avec une nouvelle vidéo ou une énième polémique. Ou les deux.

Hatred – Trailer

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Un boss alien, ça ne rigole pas

Nouveaux ennemis en perspective pour les costauds de Broforce ! En plus des traditionnels terroristes ce sont désormais des aliens que l’on pourra combattre, ces derniers dévorant tout sur leur passage, patriotes américains comme terroristes. Selon Evan Greenwood, leader du studio Free Lives, il s’agit là de la plus importante mise à jour du jeu puisqu’en plus de nouveaux ennemis elle voit l’arrivée d’une nouvelle campagne.

A l’occasion de la sortie de cette mise à jour d’ores et déjà disponible le jeu voit son prix réduit de 25% sur Steam

• Fiche de jeu Broforce.

Trailer – Mise à jour Broforce Alien Infestation

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Ça ne va pas fort, pas vrai ?

Parmi ce qui a, pendant un temps, inondé la scène indé, il est facile de trouver une bonne quantité de Rogue-Like. Un personnage que vous choisissez, une ébauche de scénario et un donjon dans lequel on vous lance pour que vous n’en ressortiez jamais (ou si rarement). La recette est aussi simple que porteuse de succès, à l’image de Rogue Legacy.

Le défaut de ce genre de jeux, c’est que mourir puis recommencer un nombre incalculable de fois, ça peut ne pas séduire tout le monde. Cela possède son charme, certes, mais également une aptitude assez exceptionnelle à titiller le sauvage rageux qui sommeille en certains de nous, surtout après la vingtième tentative pour progresser de quelques salles.

Si les deux options qui semblent s’offrir à vous face à ce genre de jeux sont :

1. Réessayer jusqu’à la crise d’épilepsie
2. Désinstaller le jeu
3. Le réinstaller car on ne vous la fait pas vous êtes un dur
4. Persister jusqu’à la crise d’épilepsie
5. Exploser votre clavier

C’est probablement que vous auriez besoin d’un jeu qui vous procure les mêmes sensations, sans pour autant vous immerger au point de ne plus pouvoir en sortir sans pertes et fracas. Et ici débarque ce que vous attendiez – probablement – tous .

Mignons tout plein

Voilà ce qu’il vous faut !

Pour cette première édition de “c’est dans la poche”, nous allons vous présenter le jeu suivant : Heroes of loot.

Heroes of Loot est un de ces rares jeux sur Portable qui vous rend accro mais qui, de par la plateforme sur laquelle il se trouve, se quitte et se reprend comme *le nom d’une personne qui vous a fait du mal* .

Dans l’absolu, Heroes of Loot n’a pas grand chose de frappant qui le démarque d’autres bons Rogue-Like. Si ce n’est une chose, qui est fondamentale : sa présence sur les plateformes mobiles (android, iOs, blackberry), combiné à un gameplay franchement bien négocié de la part des développeurs, qui permet de retrouver une expérience de jeu propre à celle que vous délivrerait un Rogue-Like en vu de haut sur PC, mais sur une “console” qui tient dans le creux de votre main (ou de vos deux mains si vous aimez les tablettes ou gros téléphones – personne n’est parfait).

Pour ce qui est des contrôles, il n’y en a que deux, placé à gauche et à droite, en bas de votre écran : un joystick vous permettant de vous promener à votre aise et un bouton qui vous permet de lancer aches, couteaux, sucettes et marshmallows, boules de feux, foudre, flèche et religieuse au chocolat (trouvez les intrus). Avec ces deux atouts, vous avancerez au travers des donjons, collectant trophées de chasse, pouvoirs, expérience et équipement. Dit comme ça, ça paraît simple, mais tout se corsera très vite.

Vous avez évidemment le choix entre quatre classes (archer, barbare, mage et valkyrie) qui auront chacune des attributs qui leur seront propres et dotées de leurs points forts comme faibles, répartis entre la magie, la force et l’XP que vous remportez à chaque bottage de fesses.

Le visuel du titre est, quant à lui, assez classique : un pixel art qui ne surprends pas plus que ça mais qui est loin d’être déplaisant. Et, point fort de Heroes of Loot, il possède un humour distillée en de petites touches qui ont le don de vous détendre d’une traversée houleuse dans une marée de monstres, pour reprendre de plus belle votre extermination, le reste d’un sourire accroché aux lèvres après la blague que vous venez de lire.

Passez les portes sans hésiter, dès que vous le pouvez.

À consommer…

• si votre portable tient à peu près la route (le jeu n’est vraiment pas gourmand)
• si vous êtes fan de rogue-like mais estimez qu’allumer votre PC pour y jouer est déjà trop demander
• si vous travaillez / étudiez loin de votre doux foyer
• Et si vous avez un niveau correct en anglais ou que les textes vous importent à peu près autant que l’âge de mon chien

Il semble bien que Heroes of Loot vous soit fortement prescrit, et sans plus attendre. Le titre coûtant la modique somme de 1.99€, il ne vous reste plus qu’à vous décider à mettre la main au porte-feuille (ou non, si vous ne répondez pas aux critères cités plus haut, évidemment) pour attendre avec impatience que les pruneaux que vous avez mangé ce midi fassent effet. Ou bien, vous pouvez être un peu plus normal et jouer même en dehors de votre pièce d’aisance.

À Vendredi prochain !

• Page Google Play de Heroes of Loot
• Page Apple Store de Heroes of Loot

Trailer de Heroes of Loot

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