Orbital Gear : la gravité dans tous ses états
Orbital Gear, jeu greenlighté il y a peu, se propose de nous offrir une expérience s’axant majoritairement (voire exclusivement) sur le multijoueur. Contrôlez la gravité et équipez-vous d’armes diverses et variées pour venir à bout de vos adversaires dans ce titre nerveux.
Alors ? Le concept peut-il se qualifier de renversant ?
Le choix des armes.
Orbital Gear est un shooter multijoueur dans lequel vous utilisez la gravité d’objets célestes pour donner à votre robot la capacité de se mouvoir dans l’espace. Le jeu vous demande de choisir un mecha (quatre seront disponibles), pour ensuite l’équiper de deux armes, à choisir parmi les douze qui vous sont proposées, et enfin vous diriger vers le cosmos pour aller joyeusement faire la fête à vos adversaires qui auront le malheur de croiser votre route.
Libre à vous de choisir ensuite la façon d’utiliser votre petit jouet de guerre au travers des différents modes de jeux qui seront proposés : du deathmatch classique à la capture de base en équipe.
La toile céleste.
OG choisit de ne se concentrer que sur le gameplay, ainsi que sur le visuel pour son titre. Bien que les informations disponibles ne nous permettent pour l’instant pas de juger de la qualité du premier, sa patte graphique est loin d’être déplaisante. Les couleurs utilisées donnent à OG une certaine vitalité et une fluidité peu communes pour ce jeu modélisé en 3D mais jouable en 2D.
Les animations, quant à elles, semblent de bonne facture, allouant une nervosité à OG qui lui permet de se montrer rapide sans être trop brouillon pour autant pendant les combats.
En bref :
Délaissant le scénario pour ne réserver aux joueurs que le plaisir de jeu, OG semble vouloir se concentrer que sur la jouabilité et la rejouabilité. Ce qui n’est pas pour déplaire, sachant que le jeu sera exclusivement multijoueur.
Censé pour l’instant sortir en juin sur Steam, Orbital Gear a tout l’air d’être un projet sympathique et ludique, ainsi qu’un très bon passe-temps dont il sera bon d’user entre amis, aussi bien qu’en solitaire, accompagné de Randoms players. Vivement juin, donc !